Avis - Les Vieux Chats

La Rédaction - 6 mai 2012 à 19:25
 Coralie PALLAMA - 21 oct. 2012 à 15:02
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Coralie PALLAMA
21 oct. 2012 à 15:02
Nathalie NOU
28 juin 2012 à 11:31
stephane lamarre
6 juin 2012 à 10:12
Pas nul mais presque! Les acteurs sont bons mais la situation est insupportable, les personnages caricaturaux, le dialogue inexistant et les dialogues bien pauvres!
Nul? Comment peut-on dire de ça de ce film? En fait un grand moment de cinéma, des acteurs remarquables! Et oui les films peuvent aussi traiter de choses "déprimantes",nous parler de sujets graves....nous faire réfléchir.C'est d'abord ça le cinéma!
Pierrette BLEY
28 mai 2012 à 17:38
excellent film à la fois tendre triste et drôle et plein d'humanité (les chats sont des personnages à part entière!) une réussite sur 2 sujets scabreux : la grande vieillesse et la mésentente familiale .à voir
Nul, long, inesthétique, et complètement déprimant. On voit les dégâts de la vieillesse, le désir de spoliier ses parents qui perdent la tête, et lire,compréhension entre mère et fille. triste soirée !
Nelly Moaligou
23 nov. 2011 à 20:55
Projetée au Festival des Trois Continents Nantais 2011, cette renversante caricature du conflit de générations par défaut de communication franche. Irrésistible vieux couple que cet Enrique ange-gardien et son Isadora limite capricieuse... Ils en avalent des gélules chaque matin ! Evidemment, il convient dans ce huis-clos de voir aussi une charge contre l'écrasement des populations de certains pays d'Amérique Latine (la double lecture vient d'emblée à l'esprit). On rit tout le temps (sauf la dernière demi-heure où on peine à sourire), on rit d'eux sur l'écran et aussi de nous, de notre passé, de notre devenir, si impétueux en pleine jeunesse, tellement pétris de doutes dans l'extrême vieillesse. Clin d'oeil à la jeunesse actuelle avide de sensations fortes (qui "sniffe" beaucoup dans tous les sens du terme). Les deux vieux félins semblent incarner, dans leur bonhomie fourrée, le double regard chilien des cinéastes. Filmé à hauteur des situations, suspense des pieds dans les escaliers... C'est plein d'espièglerie et pourtant sérieux. Les scènes de pertes de repères ressemblent au somnambulisme, la première vraie absence jetant le désarroi, les suivantes semblant happer vers les limbes jusqu'à jouer à être encore plus désarticulé. Affleure cette démangeaison de forcer un peu la faiblesse... Interprétation des quatre principaux personnages remarquable ! Sortie française officielle en mars 2012, surtout y aller car c'est tonique, pas du tout misérabiliste !