Avis - La Ligne de démarcation

La Rédaction - 16 déc. 2010 à 13:59
 Andr? Guérin - 2 déc. 2012 à 17:19
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Andr? Guérin
2 déc. 2012 à 17:19
inoubliable document de vérité sur notre histoire.PLUs que vrai.
daniel friboulet
16 déc. 2010 à 13:59
manuel lallement
18 oct. 2010 à 16:36
Marie-Claire NICOT
4 oct. 2010 à 16:09
Arnaud LEMASLE
21 juil. 2010 à 13:55
georges blasy
9 avril 2010 à 14:56
1966 de Claude Chabrol avec Jean Seberg, Maurice Ronet, Daniel Gélin
Christian DORMIGNIES
5 oct. 2007 à 11:37
Un épisode de la France ....coupée en deux
Ce film a été tourné dans ma région,et il reflette bien la vie des gens aux alentours de la ligne de démarcation pendant,les jours sombres de l'occupation. J'ai assisté à une scène du tournage,et j'ai des amis qui on participés comme figurants
François GRABARZ
5 oct. 2007 à 11:37
Histoire classique d'une famille juive accueillie par des paysans du monde rural...
Claude BURGKHALTER
5 oct. 2007 à 11:37
Sortie en salles 5/1966
Lionel Mailles
19 mai 2006 à 12:30
Contrairement à ce que dit la précédente critique, j'ai trouvé ici les Allemands mis juste à leur place. Et notamment les deux agents de la Gestapo, dont l'un, le plus mielleux et aussi le plus vrai, ne figure malheureusement à aucun générique. L'autre, plus effacé est joué par Paul Gégauff, mais ce comédien-là, avec son accent pas du tout caricatural, qui pourrait me dire son nom? Je le recherche depuis que j'ai vu le film à sa sortie. Merci d'avance au cinéphile averti qui me renseignera. Par ailleurs, à l'époque, le nom de Jean Yanne était associé, pour le plus grand plaisir de ses fidèles, à l'humour vachard et à la dérision démystificatrice. Le voir (à la fin du film) entonner, de concert avec Roquevert, la Marseillaise, m'a décidément beaucoup surpris. J'aurais été curieux de savoir ce qu'il a pensé au moment où il a joué cette scène...
Attention, il y a des erreurs dans votre présentation. Le Dr est un homme et c'est la comtesse de Grandville qui est mariée avec un officier français démobilisé. Film admirable de rigueur et de beauté habilement maîtrisé par Chabrol. Interprétation juste de tous les comédiens dont aucun ne vole la vedette à l'autre. La vie au quotidien sauf que le quotidien c'est l'Allemand, même s'il se cache sous l'amabilité du Major qui campe au chateau, puisque que côté France occupée tous les biens français était réquisitionnés pour les troupes allemandes. A ce village méritoire qui oeuvre dans son ensemble à aider les résistants et français en danger (Noêl Roquevert en ancien de la guerre de 1914 est épatant, l'instituteur qui héberge le résistant belge, la comtesse anglaise qui aide autant qu'elle le peut par sa présence en défiant le couvre feu...), le scénariste n'a prété que deux renégats : l'interprète qui travaille à la Kommandantur mais surtout un bougre qui par appat du gain abandonne à la merci des Allemands 4 juifs qu'il devait faire passer de l'autre côté de la zone d'occupation. Chacun fait ce qu'il peut, certains le paieront de leur vie (le docteur chirurgien qui avale du cyanure pour ne pas dévoiler les secrets de la Résistance face à la Gestapo, le comte criblé de balles après avoir tué à brule pourpoint deux agents de la Gestapo...). Paradoxalement les Allemands ne sont jamais montré comme des brutes mais comme des soldats qui défendent les leurs et le terrotoire conqis. Ce qui ne m'a pas plu : C'est là sans doute l'une des limites du film de ne pas avoir voulu céder à la caricature en montrant une image plus contrastée de l'envahisseur. La composition de deux acteurs français sur les 2 personnages de la Gestapo - ceux-ci imitant par ailleurs l'accent allemand d'une façon caricaturale amène le film vers le dérisoire. L'histoire a pourtant montré que les résultats obtenus à partir d'objectifs terrorisants ne faisaient pas dans la nuance.