Avis - Moi, toi et tous les autres

La Rédaction - 23 févr. 2011 à 21:57
 Annaëlle TANGUY - 20 mars 2011 à 19:14
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Annaëlle TANGUY
20 mars 2011 à 19:14
delphine olivares
24 févr. 2011 à 16:18
CATHERINE TURPIN
23 févr. 2011 à 21:57
isabelle bremant
5 oct. 2007 à 11:37
juste pour la scene ds le magasin de sic et l'ascenseur!!! pi charlotte gainsbour cela ne gache rien!!!!
Laurent MONTAIGNE
5 oct. 2007 à 11:37
Un premier film très touchant qui a rapidement rejoint mes classiques.
laetitia sampaio de jesus
5 oct. 2007 à 11:37
un film peu connu du grand public et qui pourtant est magnifique et plein de poésie
Christophe Riaud
5 oct. 2007 à 11:37
un film d'auteur, bien "space" comme je les aime. magnifique !
David BERGAMASCO
5 oct. 2007 à 11:37
un film plein de poésie, des destinées qui se croisent autrement que sur un mode tragique ou manichéen
Philippe BACLE
5 oct. 2007 à 11:37
Sensible et bien observé. Miranda July, une révélation!
Marie Izoulet
21 nov. 2005 à 15:54
Jolis portraits de personnages, à des âges différents, dans un espace des plus communs, qui posent la question de la communication. Qui peut répondre à ces interrogations : le sexe, le divorce, le devenir grand, l'amour, la créativité, la mort, le hasard, le rapport enfant-parent dans un monde où le rapport à l'autre est si difficile où les non-dits s'installent, où on n'ose pas, par pudeur, par timidité tout simplement dire, alors on utilise des médiateurs : l'ordi, le message écrit, on se pojette dans un avenir, on peut même se mutiler pour crier sa souffrance et pourtant l'image de l'oiseau placé dans un arbre révèlera l'existence de l'autre. Image poétique, pleine d'espoir, puisque le contact des mains se produit, et l'autre a retrouvé l'autre ; la réalisatrice ne nous dit-elle pas d'ouvrir nos yeux? Ce qui ne m'a pas plu : J'ai eu l'impression d'un film pas abouti, une sensation de désordre ; chaque personnage aurait pu être le héros d'un film.
Julien Mauduit
12 oct. 2005 à 17:02
Une petite ville sans histoire, perdue comme des milliers d’autres dans l’immensité du continent américain. Un quartier tranquille avec son hypermarché, sa maison de retraite et son centre d’art. Il n’y a pas grand-chose à faire à part peut-être de l’art-computer, afficher des obscénités à sa fenêtre, draguer sur internet ou commenter des cartes postales. Image d’une Amérique en quête d’identité, mélange de garden state et de virgin suicide, le premier film de Miranda July est un film d’idéaliste, ou le lyrisme très fort de ses personnages, l’emportent sur la banalité de leur existence. Elle filme la vie avec une finesse et une sensibilité rare, nous donnant l’impression de voir à travers les yeux d’une jeune enfant. Un poème frais et magique, accompagné d’une musique apaisante permettant de se détacher de notre réalité. Surveillez la programmation de votre cinéma et profitez de cette histoire exaltante récompensée de multiples fois.
Je l'ai vu 2 fois. La musique est magnifique, les images sont d'une beauté, bref un petit bijou.