Avis - L'Affaire Josey Aimes

La Rédaction - 5 oct. 2007 à 11:37
 Anonyme - 14 janv. 2014 à 20:40
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jeannine cachart
1 nov. 2010 à 16:26
JOEL REBUFFAUD
27 oct. 2010 à 18:46
Danielle Huchet
1 oct. 2010 à 18:37
Véronique GENDRAS
12 juil. 2010 à 15:09
Charlize Theron, très impressionnante
cathy leroux
24 juin 2010 à 17:58
Gino Troncoso
5 oct. 2007 à 11:37
Charlize Theron sublime !
Très bien
Marion Bonenfant
5 oct. 2007 à 11:37
pas mal
Gwenn KERHOAS
5 oct. 2007 à 11:37
sortie de la salle de ciné en larme
louisa benyoucef
5 oct. 2007 à 11:37
avec charlize théron ,une oeuvre digne à la hauteur de son héroine.
Jean-François Cordier
11 nov. 2006 à 17:35
Les épreuves que Josey Aimes a dû traverser, peu de femmes ou d'hommes d'ailleurs seraient parvenus à les surmonter : un viol étant adolescente, une grossesse non-désirée, l'héroïne a pourtant élever son fils avec tout l'amour qu'une mère porte à son enfant. Un mari violent. Des soucis financiers. Un métier d'hommes éprouvants, elle est traînée dans la boue et persécutée par ses collègues de la gente masculine, son père n'est au départ même pas de son côté que du contraire. Le film repose sur un procès dénonçant les conditions de travail inhumaines (harcèlement). On se croirait au XIX ème siècle (ex. dans le long métrage "Germinal") alors que nous sommes dans l'Amérique des années 80. Ce qui ne m'a pas plu : Dans l'ensemble, je n'ai rien à redire sur ce film, c'est à voir une fois, ce n'est cependant pas inoubliable non plus.
Claire Fontaine
18 sept. 2006 à 09:35
J'ai adoré ce film, en aucun cas lacrymal, car il braque la lumière sur un des plus grands tabous de notre société: l'oppression patriarcale, une oppression qui, non seulement, ne recule pas mais qui ,en ces premières années du 21 ème siècle, progresse à nouveau. Josey Aimes, jeune femme, dans la necessité de gagner sa vie et celle de ses deux enfants (un fils né d'un viol subi à l'adolecence et une fille née de son union qu'elle vient de rompre) choisit d'exercer le même métier que son père: mineur(e). C'est le métier ouvrier ,certes, le plus dur mais aussi le mieux payé dans la région. A ce titre, il est considéré comme "naturellement" dévolu aux hommes. Les femmes qui l'exercent sont accusées de voler leur travail aux hommes. C'est la raison qui fait que Josey , dès son entrée à la mine, se voit harcelée moralement et sexuellement. Le but: la forcer à abandonner son nouveau métier qui lui permet de nourrir elle-même ses enfants et de ce fait de se sentir heureuse malgré tout. Josey n'abandonnera pas, elle choisit de lutter de toutes ses forces . Il lui faudra lutter contre l'union des hommes , ouvriers, syndicats, patron tous unis contre elle. Mais aussi contre ses collègues, femmes transies de peur, qui préfèrent subir en silence que d'affronter l'oppression. Le film présente donc l'intérêt de montrer ce qu'il en coûte aux femmes de tenter de s'imposer comme égales aux hommes et d'échapper à la domination masculine autrement dit de montrer la force, le poids d'une oppression dont on ne parle jamais alors même (parce qu'elle?) qu'elle touche plus de la moitié de l'Humanité.Une oppression tue, niée et d'autant plus efficace qu'elle est tue et niée. Moyen-âgeuses les pratiques masculines de harcèlement? Très actuellesau contraire Toujours actuelles ,hélas! L'intérêt du film est d'autant plus fort qu'il éclaire une réalité interdite à la prise de conscience. Ce qui ne m'a pas plu : Le film est passé de manière furtive, sans publicité et dans très très peu de salles. Comme s'il avait été censuré!
Pascale Ringuet
10 mars 2006 à 23:15
L'histoire est passionnante parce que tirée d'un fait réel mais aussi et surtout parce que révoltante, scandaleuse : le premier cas étasunien de procès pour harcèlement sexuel dans le travail. Et quel travail ! Charlize Theron alias Josey Aimes choisit et décide de ne plus taire les humiliations, insultes et outrages permanents, tant verbaux que physiques de ses collègues masculins dont elle n'est d'ailleurs pas la seule victime. Cela se passe en 1989 mais ce sont des mentalités moyen-âgeuses qui semblent être décrites, que dis-je, c'est Cro-magnon en personne qui est dépeint ici. Les scènes de procès sont parfaites : le cinéma américain maîtrise complètement cet aspect des histoires. Lors du dernier quart d'heure, un semblant d'émotion pointe son nez dans une scène très "poètes disparus"... Mais... Ce qui ne m'a pas plu : Tout cela manque cruellement de force, d'intensité, d'émotion et de conviction. Les scènes s'enchaînent sans qu'on n'ait jamais la moindre notion du temps qui s'écoule. Tout semble être réglé en 15 jours. Et puis, surtout, surtout, Charlize Theron pleure de la première à la dernière minute ; quand elle est triste, quand elle est contente, quand elle est en colère, quand elle a peur, quand elle est indignée : ELLE PLEURE. C'est un peu léger comme intensité dramatique dans l'interprétation et au bout d'un moment assez exaspérant pour le spectateur dont les yeux restent irrémédiablement secs.
Un sujet bien décrit tiré d'une histoire vraie . L'atmosphère des sentiments cachés et des situations pesantes est bien rendue.La vie de l'héroïne qui se dévoile peu à peu. Le jeu des acteurs est parfait . Ce qui ne m'a pas plu : Le procés final un peu trop bâclé. Quelques longueurs au début .
Elvire Laigneau
9 mars 2006 à 11:19
Le sujet du film tiré d'une histoire vécue, force chaque femme à se ranger du coté de l'héroine magnifiquement interprée par Charlize Theron et l'on voit comment les mentalités ont évolué (heureusement!!!)en matière d'égalité des sexes et sur le droit des femmes (harcèlement sexuel). Ce qui ne m'a pas plu : Toutefois,le film manque de rythme et comporte des longueurs.Seules deux ou trois séquences m'ont retournée.....