Avis - Aurore

La Rédaction - 30 avril 2017 à 15:08
 La Rédaction - 30 avril 2017 à 15:08
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rayaneballet
21 sept. 2011 à 20:09
j'ai vraiment adorer c'est un film manifique
LYAZID AKLI
20 mars 2011 à 13:27
Virginie VERHAEGHE
29 janv. 2011 à 22:26
un très joli conte où la grâce mène la danse!
Pauline ......
8 sept. 2009 à 19:03
J'aime danser, d'ailleurs je fais de la danse classique.
cindy bethencourt
5 oct. 2007 à 11:37
film tres triste
Françoise GODDARD-MUSSI
5 oct. 2007 à 11:37
Scènes de danse classique, merveilleuses.
Farah Leplat-Hedley
5 oct. 2007 à 11:37
un film québécois basé sur une histoire vraie
DOROTHEE PONTHIEU
5 oct. 2007 à 11:37
histoire vraie!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! horrible tout simplement
anne-sophie bernardinis
5 oct. 2007 à 11:37
l'histoire d'une gamine maltraité au Quebec
Ingrid BRIAHNA
5 oct. 2007 à 11:37
Très émouvant, revèle la douleur d'un enfant traumatisé par les coups de l'homme !!
Florentine Raffard
23 avril 2006 à 15:03
Quand Aurore danse.
Elisabeth Durand
2 avril 2006 à 22:48
J'ai passé un moment agréable durant ce film. Bien interprété par les protagonistes : film très artistique, de part les décors, et les chorégraphies. Ce qui ne m'a pas plu : Dommage pour les chorégraphies trop brèves !!
Nadine Tilburg
26 mars 2006 à 12:10
Les images et les décors sont superbes, ainsi que les chorégraphies, notamment celles interprétées par Margaux Chatelier qui danse à merveille. Ce qui ne m'a pas plu : Tout d’abord, il a fallu faire abstraction des rires des spectateurs qu’une tenue de danse ou une chorégraphie faisait rire ?!! Essayer de ne pas remarquer l’énorme écart entre le jeu parfait de Carole Bouquet, François Berléand et Thibault de Montalembert et celui des autres acteurs qui récitaient leur texte. Et finalement tenter de ne pas pouffer lorsque plus personne dans la salle ne riait, mais que le film partait en vrille : - Aurore qui en tirant sur la petite tige de son bustier se débarrasse en 2 secondes de sa robe, soi-disant corsetée et trop serrée, pour se retrouver quasiment en slip devant son bien-aimé à chaque fois qu’elle le rencontre, - Solal qui se trouve affublé d’ une superbe moumoute pour symboliser le temps qui a passé, - Aurore, encore, qui d’un mignon coup de coude se dégage de l’emprise d’un ou deux soldats et met le feu au méchant qui sous une pluie torrentielle brûle en hurlant. Et de scénario, il n’y a point. Pas plus que d’émotion. Quand Aurore déclare sa flamme au peintre, on n’est pas vraiment surpris, vu qu’on devine tout de l’histoire ou bout de cinq minutes de film, mais cette déclaration nous interpelle tout de même : depuis quand est-elle amoureuse du peintre ? À aucun moment la moindre étincelle n’a jailli. Le seul attachement tangible étant l’amour que se porte le frère et la sœur, sentiment que Tavernier n’a pas osé exploiter et qui aurait rendu le film intéressant . Ce qui aurait pu être un merveilleux film, un Peau d’Ane revisité, une belle version de Roméo et Juliette n’est qu’une coquille vide. Une histoire ne devient pas un conte parce qu’il y a de la musique, des fées et des colliers magiques. Un conte permet au travers du merveilleux de parler d’aspects plus ou moins graves de la vie, de les appréhender, de les comprendre, de les apprivoiser. Et ça me fait mal de dire tout ça car Nils Tavernier me paraît très sympathique. Mais bon ce que je voulais c’est voir un beau conte de fée !
La trop courte séance de bal chorégraphiée par Yukata Takei. Ce qui ne m'a pas plu : J'ai trouvé ce film consternant et son scénario d'une consternante platitude et "cul-cul la praline" comme ce n'est pas possible. Nils Tavernier a même réussi à enlaidir la belle Carole : le Bouquet ! Mais que sont donc allé faire dans cette galère des chorégraphes comme Carolyn Carlson et Kader Belarbi ? Et un danseur comme Nicolas Le Riche ? Le pauvre ! Si vous aimez la danse, revoyez plutôt l'excellent "The company" de Robert Altman. Ou si vous avez la chance d'habiter Lyon, allez à la Maison de la Danse !
Pascale Ringuet
25 mars 2006 à 10:01
Respect infini pour Nils et Bertrand son père qui sont parmi les rares cinéastes cinéphiles... Mais ça n'a rien à voir avec le film en question... Ce qui ne m'a pas plu : Il flotte autour de ce film l’ombre de Jacques Demy (l’atmosphère enchanté) et de « Peau d’Âne » (les relations quasi incestueuses du frère et de la sœur)… mais hélas seulement l’ombre, et on s’ennuie ferme au palais. Une jeune princesse, Aurore (ça ne s’invente pas) doit épouser un riche prince qu’elle n’aime pas pour sauver le royaume ruiné de son père. La princesse ne vit que pour et par la danse mais il se trouve que cette pratique est interdite dans ce royaume. Aurore est donc contrainte de beaucoup se déshabiller (les robes de princesse : ça gêne aux entournures) pour faire ses entrechats en cachette. Si l’on n’est pas comme Nils Tavernier passionné par la danse classique, fasciné par les beaux corps musculeux et anorexiques, ce film laisse de marbre. Ce fut mon cas. Carole Bouquet est parfaite en reine blessée et sacrifiée. François Berléand étonne en roi qui gâche sa vie et son amour au nom de l’autorité. Quant à la jeune Aurore, je suppose que ce doit être une grande danseuse, cela n’en fait pas une actrice. Diaphane et souriante, elle traverse le film au ralenti et comme en apesanteur. On doit pouvoir trouver cela gracieux et admirable, pour moi ce fut exaspérant, à la limite du supportable. Je croyais vivre un conte de fées, ce fut une épreuve.
Albane Roche
24 mars 2006 à 22:39
Euh à la limite de la danse... Ce qui ne m'a pas plu : Grotesque, absolument niais et ridicule, un jeu d'acteur très mauvais, si on compare à "Peau d'âne" de Jacques Demy auquel il fait penser, il y manque toute la magie, toute la poésie il est vide... en plus la fée y est fait affreusement peur !!!
Cécile Gréard
23 mars 2006 à 07:12
La danse, la danse, la danse et la façon dont elle est filmée. Ce qui ne m'a pas plu : Le jeu d'acteurs des non-professionels.
Bernard Ozouf
22 mars 2006 à 14:34
Un moment pour faire la sieste! Ce qui ne m'a pas plu : Un scénario d'une rare banalité sur un rythme soporifique qui ne trouvera grâce qu'au yeux de quelques amateurs de danse qui avalent tout et à toutes les sauces.