Avis - Mon nom est Tsotsi

La Rédaction - 5 oct. 2007 à 11:37
 GROSGROS - 16 déc. 2015 à 20:54
Cette discussion concerne un article du site. Pour la consulter dans son contexte d'origine, cliquez sur le lien ci-dessous.

https://www.linternaute.com/cinema/tous-les-films/2161858-mon-nom-est-tsotsi/

JE L AI REGARDE 3 FOIS ET J ADORE CE FILM. PAS DE SCOOP SUR LUI DANS LES MEDIAS MAIS TELLEMENT REEL ET BEAU. MERCI . IL FAUDRAIT BCQ DE CE GENRE DE FILMS MIEUX QUE STAR WARS ET TELLEMENT PLUS HUMAINS.
Daisy CHARLEMAIGNE
10 avril 2010 à 13:27
Longtemps hésité avant de le regarder car je craignais que ce soit violent. Mais ça va : c'est un très beau film sud -africain. J'ai beaucoup aimé les couleurs , les décors.
Clément RICHARD
5 oct. 2007 à 11:37
un film Sud-Africain énorme
Ludwik Gajan
5 oct. 2007 à 11:37
Vision sur la connerie humaine
audrey carvalho
5 oct. 2007 à 11:37
super BO
Rodney PASSAVE
5 oct. 2007 à 11:37
un petite perle trop rare du cinema africain
Cécile MAYANOBE
5 oct. 2007 à 11:37
Fantastique! A voir absolumment! Se passe en Afrique du Sud... film genial...
Anne Thebault
5 oct. 2007 à 11:37
boulversant
Vincent Pauly
5 oct. 2007 à 11:37
J'avoue ne pas avoir trop suivi, mais la fin est bonne... Lol
catherine konetzki
5 oct. 2007 à 11:37
Interprète génial.
laetitia le gall
5 oct. 2007 à 11:37
film un peu particulier au départ mais super interressant et entreprenant
nicolas UNGER
5 oct. 2007 à 11:37
on a de la chance de vivre en france ??? non ?
Bountou Soumah
5 oct. 2007 à 11:37
g mm ris par moment
Pierre Texier
5 oct. 2007 à 11:37
Tres bien
LAURENT CHAPUS
5 oct. 2007 à 11:37
Film culte à mes yeux, authentique, puissant, émouvant. Je ne suis pas sorti indemne de ce long métrage.
Siham Kemmoun
5 oct. 2007 à 11:37
jusqu'à aujourd'hui, c'est celui qui m'a le plus touché
Jennifer Klein
5 oct. 2007 à 11:37
Un film en or qui nous ouvre les yeux sur la vie. Touchant.
Samuel Hadjadj
5 oct. 2007 à 11:37
Bof
Christophe Blin
5 oct. 2007 à 11:37
Le film relate l'histoire d'un « tsotsi » (voyou) de 19 ans en perdition à Soweto. Face à la réalité.
Le seul film d'où j'ai pu ressortir scotchée de la salle obcure. Criant de vérité et tellement loin des superproductions hollywoodiennes... un chef d'oeuvre à l'état brut
Rare sont les films qui me mettent autant mal à l'aise que celui là !!
Nicolas JUVY
5 oct. 2007 à 11:37
à voir, absolument!
jeannette tall
5 oct. 2007 à 11:37
Michel FUZIER
5 oct. 2007 à 11:37
bien M. Clint Eastwood du bon cinéma....
cedric pateau
5 oct. 2007 à 11:37
Un film Sud africain, brut et touchant ( j'avoue j'avais les yeux humides...lol)
Guillaume DUBRAS
5 oct. 2007 à 11:37
un film magnifique, des acteurs de génie. Et ce n'est pas parce qu un message sent le deja vu qu'il ne merite pas d'etre réentendu.
ERIC KAYAYAN
5 oct. 2007 à 11:37
Gripping! L'Afrique du Sud urbaine des townships dans sa toute misère
pauline Manteau
5 oct. 2007 à 11:37
Je vous le conseil vraiment, il est prenant! à voir en VO (enfin c'est mon point de vue)
Olivier LAMI
5 oct. 2007 à 11:37
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=108668.html
jenny temime
5 oct. 2007 à 11:37
Boulversant
2005. Drame réalisé par Gavin Hood. Avec Presley Chweneyagae, Terry Pheto et Kenneth Nkosi. En Afrique du Sud, Tsotsi, un voyou de 19 ans, découvre un bébé sur le siège arrière de la voiture de luxe qu’il vient de voler. Déstabilisé, le jeune homme emmène l’enfant chez lui et force une jeune mère du voisinage à l’aider. Tranquillement, la présence du bébé permettra à Tsotsi de faire la paix avec son passé. (PREMIÈRE) Ce film a remporté l’Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2006.
Caroline GUILLOU
5 oct. 2007 à 11:37
Je l'ai vu hier soir sur internet. Un film très poignant...
Kétévan Mirianashvili
21 nov. 2006 à 10:37
Le film est original, dynamique et émouvant. L'acteur principal est remarquable.
Marie-Aline Guillet
12 août 2006 à 22:15
Ce film reflète tout à fait la dureté de la vie dans les townships sud-africains. J'ai horreur de la violence, mais on ne peut pas en faire abstraction dans ce film, elle fait malheureusement partie intégrante de la vie de ces jeunes "monstres" qui ne sont en fait que de jeunes hommes au passé bien trop douloureux pour même oser s'en souvenir... L'acteur principal, Totsi, joue remarquablement bien et sa sensibilité à fleur de peau fait que nous avons plus d'une fois la gorge nouée pendant la séance. Les autres acteurs, y compris la femme que l'on voit moins mais qui a un "rôle clé", contribuent à la grande force à ce film. Difficile de s'extraire du film, lorsque les projecteurs s'éteignent...
Dominique Cagebo
31 juil. 2006 à 16:32
L'Afrique du Sud on en parle pas tellement depuis la fin de l'Apartheid et pourtant, non seulement tout n'est pas réglé, mais en plus c'est un pays qui doit désormais en gérer les "effets secondaires" : recrudescence de la violence sous toutes ses formes dont celle qu'on retourne contre soi lorsqu'on appartient à un peuple rejeté, déconsidéré, qu'on a grandi dans une famille ou la violence va jusqu'à faire partie de la survie et devient une arme et une règle pour survivre ! Il faut comme Tsotsi refaire le chemin à l'envers, remonter à la source, soit l'enfance pour retrouver son humanité originelle, qui délivre du mal et permet d'avancer sur une route moins rocailleuse! Bravo bien compris et senti tout ça, et bien joué ! Ce qui ne m'a pas plu : Quelques clichés au passage mais pas gênant.
Les interprétations de ces acteurs inconnus et pour cela tellement justes. La vie réelle des déshérités en Afrique du Sud. Confronté à la misère et au quotidien, Totsi vole, jusqu'à la violence nécessaire, puis fait un retour en arrière, dans le fond de sa conscience. Il y retrouve les causes de sa perdition et finalement de sa rédemption : sa relation avec sa mère. Car même un miséreux violent a un cœur fragile. A voir pour sortir des bêtises habituelles de l'été!
Jocelyne Chabassier
27 juil. 2006 à 09:14
Dans un township de Johannesburg, la mère de David est rongée par la maladie et son père, alcoolique et violent lui interdit de s'approcher d'elle. Il s'enfuit et grandit dans sa "maison", un empilage de vieilles canalisations. Livré à lui-même, il occulte son passé, jusqu'à son nom et se fait appeler Tsotsi (voyou dans l'argot des Ghettos). On sourit lorsqu'au début du film, il traverse le bidonville avec sa "bande", deux paumés "aux ordres", en se donnant des airs de caïd, mais on réalise très vite qu'il ne s'agit pas d'une façade, que l'extrême violence est permanente et que Tsosti est capable de tuer pour quelques rands (monnaie d'Afrique du Sud). Un bébé trouvé dans une voiture volée va le renvoyer à sa propre enfance, redonnant à sa vie une sorte de sens artificiel et fugace ; il redécouvre alors l'attachement, la tendresse, les larmes. Un regard simple, brutal, dérangeant, fascinant sur un monde de misère totale et explosive, là, juste sous les fenêtres de nos sociétés proprettes. Gavin Hood signe un film d'une force étonnante sur la société sud-africaine où la ségrégation économique est bien loin d'avoir été éradiquée.
Le réalisateur Sud Africain Gavin Hood, nous présente un film particulièrement noir, avec une atmosphère pesante. Un jeune monstre "Tsoti" qui vit dans un univers de totale violence au sein d'un bidonville de Johannesburg, va après un vol de voiture avec tentative de meurtre, se voir encombré d'un paquet resté sur la banquette arrière. "Un bébé", il décide de s'en occuper, ce qui le conduit à faire un retour sur son enfance sordide. Puis, petit à petit son comportement va évoluer, pour s'humaniser et s'ouvrir à la vie. Les principaux acteurs Presley Chenayague, Motushi Mugano et Israel Makoe sont parfaits. Ce film a remporté l'Oscar du meilleur film étranger.
Elodie Songeur
25 juil. 2006 à 19:29
On ne sait pas vraiment dans quel pays cela se passe, mais il y a beaucoup de force dans ce film, exprimée par le jeu de jeunes acteurs. Film dur mais déconcertant. Difficile de se lever de son siège lorsque le rideau tombe. Ce qui ne m'a pas plu : Parfois des scènes difficiles à voir.
J'ai bien aimé la face caché du personnage principal qui se révèle être un voyou au coeur tendre. La bande son qui illustre parfaitement les contrastes de ce film. L'interprétation de Presley Chweneyagae est remarquable.