Avis - The Queen

La Rédaction - 2 nov. 2006 à 18:56
 Petit_Papillon - 3 juin 2022 à 09:58
Cette discussion concerne un article du site. Pour la consulter dans son contexte d'origine, cliquez sur le lien ci-dessous.

https://www.linternaute.com/cinema/tous-les-films/2153085-the-queen/

Petit_Papillon
3 juin 2022 à 09:58
Super film !
Jean-noël CUEFF
17 déc. 2012 à 21:35
Pascale Lirzin
14 nov. 2011 à 17:30
Annie BIGOT
19 nov. 2010 à 18:38
Film du réalisateur Stephen Frears. Le 31 août 1997, Lady Di meurt, la Grande- Bretagne est en plein désarroi, Tony Blair célèbre la "princesse du peuple", la reine garde le silence.......
Justine Manyo
10 août 2010 à 17:57
MARIE CHRISTINE TOURY
29 juil. 2010 à 17:39
Vu en VO. Du grand Stephen Frears. Et quelle prestation d'Helen Mirren !
Marie-Odile Maurice-Gerbier
5 oct. 2007 à 11:37
Superbe interprétation de l'actrice principale
mélanie chambon
5 oct. 2007 à 11:37
on leve un petit voile sur le mystere de la famille royale d'angleterre
Cécile LAPIERRE
5 oct. 2007 à 11:37
çà se laisse regarder
martine lavigne
5 oct. 2007 à 11:37
superbe ,remarquable interprétation
marc Maurier
5 oct. 2007 à 11:37
j'ai bien aimé...
Audrey GUIMPIER
5 oct. 2007 à 11:37
un régal pour les anglophiles comme moi.
Sabrina Doutrelen
5 oct. 2007 à 11:37
pas mal mais la concentration été difficile avec 2 zouaves à côté
Yannick LESIEUX
5 oct. 2007 à 11:37
Je l'ai fait découvrir à ma coloc Amanda en revenant du Privilège
maguy grijalvo
5 oct. 2007 à 11:37
Parfait de vérité, l'actrice qui incarne sa Majesté est sublime. Et puis la Princesse de Galles, me manque beaucoup. J'ai beaucoup de chagrin de sa perte.
Alexandra Palma
5 oct. 2007 à 11:37
Ce film sur Élisabeth 2 est très instructif quant au rôle de la reine dans le gouvernement britannique : elle sert à rien.
william malot
5 oct. 2007 à 11:37
Un très bon moment de cinéma.
André Michel Descombes
5 oct. 2007 à 11:37
Intéressant
ANNIE ACHON -
5 oct. 2007 à 11:37
no comment ,,
roseline Martin
5 oct. 2007 à 11:37
J'ai beaucoup aimé
ghislaine hemon
5 oct. 2007 à 11:37
Tres belle histoire sur une magnifique princesseet bonte de coeur de tony blair
Vincent LOBJOIS
5 oct. 2007 à 11:37
Comédie dramatique de Stéphan Frears
Corinne GESTAS
5 oct. 2007 à 11:37
Helen Mirren joue magnifiquement le rôle de la souveraine....
Maria Cabral Gonçalves
5 oct. 2007 à 11:37
Non, les Britanniques ne sont pas tous dépourvus de sentiments, je vous rassure. J'ai adoré le personnage de Tony Blair, on se demanderait presque comment il a pu être Premier Ministre...
Martine Guérin
5 oct. 2007 à 11:37
pas jolis jolis les grands de ce monde
Anne-Marie Le Grand
5 oct. 2007 à 11:37
Etonnant. On est vraiment devant la vie de la reine.
Christiane Bétoulières
5 oct. 2007 à 11:37
Outstanding performance from Helen Mirren- 2006 - "Uneasy lies the head that wears the crown." Shakespeare - Henry IV Part II
angelika signac
5 oct. 2007 à 11:37
j'adore toujours autant l'angleterre et ses institutions!!!!!!c'était très interressant
CHANTAL BARTOLO
5 oct. 2007 à 11:37
Stephen Frears et l'EXCELLENTE Helen Mirren ont fait un fabuleux film. Oscar pour Helen (meilleure actrice 2006 ) et meilleur scénario. Of course, because I teach English. A VOIR ABSOLUMENT, rien à voir avec la vie de la Reine Elizabeth II, mais passionant.
Vanessa Cavril
5 oct. 2007 à 11:37
joli film sur la reine d'angleterre.
Marlène Jurado
5 oct. 2007 à 11:37
Il y avait longtemps que je voulais le voir et je n'ai pas été déçue !
Isabelle Mesnildrey
5 oct. 2007 à 11:37
Film vu en DVD et en anglais. Je n'ai pas tout compris, mais génial.
laurent saulnier
5 oct. 2007 à 11:37
très beau portrait. Heavy lies the head that wears a crown...
Sylvie DARLES
5 oct. 2007 à 11:37
excellent! j'adore!
catherine bonnet
5 oct. 2007 à 11:37
God save the Queen !
Christine Bernard
19 avril 2007 à 14:42
Tout et en particulier une interprétation remarquable d'Helen Mirren qui a bien mérité son Oscar.
Excellente interprétation d'Helen Mirren, plus vraie que nature. Elle incarne réellement son personnage. Je suis agréablement surprise de voir que d'un fait divers banal et tragique, Frears a réussi un film fin, parfois drôle, qui n'est pas toujours basé sur la réalité mais cela importe peu. Ce qui ne m'a pas plu : A qui ce film profite ? Propagande pour la reine ?
Louis Albessard
22 déc. 2006 à 12:57
Excellent film tout en finesse où la famille royale est décrite d'une façon qui semble plausible, même en ce qui concerne le personnage antipathique du Prince Philippe ou bien le féroce acharnement de la reine mère. La symbolique de la Monarchie finissante vue à travers le Cerf, est grandiose. La musique convient parfaitement à l'histoire. Ce qui ne m'a pas plu : La réception des Blairs par la reine au debut du film, me semble un peu caricaturale et manque de réalisme.
Dominique Issartial
2 nov. 2006 à 18:56
Même si je connaissais l'histoire du comportement de la famille royale lors du décès de Diana, j'ai trouvé que Stephen Frears laisse au spectateur le loisir de se faire une opinion sur la personnalité de la reine. J'ai pu, parfois, la sentir humaine, et cela m'a rassuré quelque peu. Certes je ne connais pas la famille royale, mais je me suis dit, pendant ce film : "elle est humaine, c'est une femme, malgré son obligation d'être reine très souvent". Ce qui ne m'a pas plu : Comme un des internautes, je trouve que le mari de la reine est impressionnant dans ses répliques, ainsi que la mère de la reine. Si, en vrai, ils sont comme ça...
Dialogues, images, scénario.
Philippe Chervet
22 oct. 2006 à 10:42
Le jeu de l'actrice qui interprète la reine et quelque répliques... Si vous vous intéressez à l'histoire de la couronne et aux quelques jours qui ont suivi la mort de Diana. Ce qui ne m'a pas plu : Film soporifique peu passionnant on connait l'histoire et le comportement de la reine à la mort de Diana ne nous apprend rien ou si peu. Il en est de même des rapports entre T.Blair et la reine durant cette courte période historique autour de laquelle tourne ce film. Le peu humour dispensé est plus que limite (les calembours du conseiller de T. Blair me semblent plus qu'improbables et déplacés et jettent un discrédit sur la véracité des dialoges. La pathétique maladresse dont font preuve les époux Blair lors de leur première rencontre avec la reine n'arrangent pas les choses. Seul le journal les Inrockuptibles en fait une critique certes peu favorable mais juste. Le film frôle parfois le pathos...
Agnès Vachon
20 oct. 2006 à 08:26
Le réalisateur a bien fait ressortir le malaise grandissant de la famille royale. Tout à l'opposé, un Tony Blair plus vrai que nature qui gère au mieux cette crise de la monarchie. J'ai beaucoup aimé aussi, ce que j'ignorais, cette "amitié" naissante entre la reine et son premier ministre, tout cela plein de regard et de non-dits. Les deux personnages sont vraiment interprétés de façon excellente. Bravo ! Ce qui ne m'a pas plu : Quelques plans un peu trop longs !
Découvrir l'univers qui entoure cette grande dame et son quotidien et les secrets du protocole royal. Voir comment s'est déroulé l'événement de l'intérieur. Ce qui ne m'a pas plu : C'est un film qui tire plus vers le documentaire que le roman. L'absence d'émotion ne le rend pas du tout palpitant.
Madeleine Zonza
18 oct. 2006 à 17:41
Stephen Frears s'est attaqué à un sujet difficile. Il s'en est tiré avec brio en compagnie d'acteurs remarquables. Le sujet d'abord. Deux histoires parallèles. Au Royaume Uni, un jeune et brillant travailliste, Tony Blair, vient d'accéder au pouvoir. Petite révolution dans ce vieux pays. Le premier ministre adopte un ton résolument moderne et se définit proche du peuple. Deuxième histoire à quelques mois de cet avènement, un accident dramatique : la mort violente d'une princesse "people" déchue dont les bonheurs et les malheurs font depuis longtemps rêver et pleurer Margot. Mais la réaction à cette triste nouvelle, amplifiée par les médias, provoque des manifestations de chagrin mélées de colère dans la population anglaise, voire dans les populations du monde entier. Or la princesse, divorcée de son futur royal époux, ne fait plus partie de la famille. D'ailleurs, la famille royale s'est retirée dans son château écossais à Balmoral. Et, pour consoler les enfants de la princesse défunte, on les amène à la chasse. Tony Blair et ses conseillers estiment que la situation devient dangereuse tandis que des monceaux de fleurs en hommage à la princesse Diana, jonchent l'entrèe du palais de Buckingham Palace déserté par la souveraine. De nombreux coups de téléphone s'échangent entre celui qui veut qu'on l'appelle Tony et la reine. Celui-ci conseille fortement à la reine de se joindre à ce deuil et d'organiser des funérailles royales. " Cela au nom de la monarchie et de nos institutions en péril". Au delà de cette crise politique qui secoua le royaume au cours de cette année 1997, Stephen Frears nous propose une réflexion sur le pouvoir. En particulier sur la solitude dans laquelle se trouve une reine anachronique, survivance du passé. A laquelle on fait parfois comprendre qu'elle coûte cher au peuple. Elle est dure, repliée dans son monde, coupée des réalités. "Mais, avoue-t-elle à son ministre, j'ai été élevée comme cela". Tony Blair au contraire est sans cesse entourée par ses conseillers aussi jeunes et dynamiques que lui. Il dîne dans sa cuisine en compagnie de sa femme de "batonnets de poissons". La reine suit ses conseils et tout rentre dans l'ordre après une cérémonie au cours de laquelle, je défie les spectateurs de ne pas avoir exprimé une petite larme. Parce qu'en plus, il y a de l'émotion. Aussi rigide, fermée et antipathique qu'elle soit, la reine est une femme sensible. Au milieu des landes, seule, elle se trouve face à un cerf, et elle a peur pour lui. Image suspendue et de grande beauté. Mais peut-être encore plus cruelle : L'auteur ne veut-il pas montrer qu'Elizabeth est plus sensible à la vie d'un cerf qu'à celle d'un être humain ? Stephen Frars malgré les apparences de sympathie qu'il semble accorder au ministre travailliste ne le présente-il pas comme un aimable démagogue qui craint surtout pour son propre pouvoir ? La dernière scène est savoureuse. La reine ne manque pas d'humour et adresse à son ministre un petit regard narquois, tandis que, dents blanches et pointues, il l'inonde de son charme. Elle murmure: "Vous verrez, vous aussi, un jour"... Cette solitude, et l'abandon par les hommes de son parti, il les connaîtra. Et la complicité se lit dans les visages de ces deux immenses acteurs qui par leur jeu, les sentiments qu'expriment leur visage, font des deux personnages des êtres bien plus complexes et mystérieux qu'il n'y paraît. Ce qui ne m'a pas plu : Le jeu du prince Philip. Non, ce n'est pas possible, il n'est pas aussi idiot que ça ! Et pourtant, quand il dit de la princesse Diana "elle nous empoisonne encore plus morte que vivante!" Mon petit doigt me dit que même si cela n'a pas été dit, toute la famille l'a pensé. Alors je pardonne à Stephen Frears ce personnage un peu caricatural.