Avis - Le Grand Silence

La Rédaction - 5 oct. 2007 à 11:37
 Joël Landry - 30 mars 2009 à 18:19
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Joël Landry
30 mars 2009 à 18:19
Durant plus de deux heures dans une salle pleine, pas de lassitude !! Dans le monde bruyant qui nous encercle il est essentiel de savoir que des lieux comme celui décrit dans ce documentaire, sont ouverts à tous.
Florent Souquet
5 oct. 2007 à 11:37
C'est un beau documentaire sur le Monastère de la Grande Chartreuse.Je suis admiratif devant la douceur et le recueillement qui s'en dégagent.
Sylvie Schambacher
5 oct. 2007 à 11:37
De Philip Gröning : un documentaire singulier sur la vie monacale des Chartreux près de Grenoble. Une méditation profonde, une expérience sans artifice...
Marguerite Laville
5 oct. 2007 à 11:37
très beau !
Frère Laurent DREVET
5 oct. 2007 à 11:37
L'oeuvre de Dieu c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé !!! (Jo 8,29) En union de prière....
Florent Souquet
5 oct. 2007 à 11:37
C'est un très beau documentaire sur les moines de la Grande Chartreuse de Grenoble. C'est un film très reposant!
laurent florion
5 oct. 2007 à 11:37
UN SENS A NOTRE VIE , DE LA PURETE et HUMILITE
Roger Conche
5 oct. 2007 à 11:37
j'ai beaucoup aimé
Jean-Marc SERRANO
5 oct. 2007 à 11:37
Trés beau et glacial western-spaghetti. De Sergio Corbucci pour une fois! La montagne et la neige en lieu et place du désert et de la poussière. Jean-Louis Trintignant en ténébreux et désespéré anti-héro. Klaus Kinski,toujours aussi barjot et parano. Enio Morricone pour la musique. Le tout est nihiliste à souhait.
Bruno-Dominique ROVARINO
5 oct. 2007 à 11:37
Perception, contemplation, c'est une méditation silencieuse sur le monachisme érémitique dans une forme épurée.
Joël LANDRY
5 oct. 2007 à 11:37
Formidable
ERWIN VAN DAAL
5 oct. 2007 à 11:37
160 minutes de relaxation avec un réalisateur qui a réussi à rentrer dans ce monastère l'un des plus secrets du monde - près de Grenoble
Jérôme TOULAUT
5 oct. 2007 à 11:37
le meilleur western que j'ai vu violent et immoral un chef d'oeuvre de sergio corbucci
EMMANUEL LE GAGNE
5 oct. 2007 à 11:37
Fabuleux western italien de Corbucci au pessimisme radical. Jean Louis Trintignant surprenant dans un rôle à contre-emploi
Nadine BAILLY
5 oct. 2007 à 11:37
"Chut" !
Philippe FAROUDJA
5 oct. 2007 à 11:37
remarquable
Marie France Izoulet
6 mai 2007 à 22:13
Le regard de la caméra sur ce monde où hommes et nature sont en étroite communion, chaque plan est une oeuvre picturale, qu'il soit fixe ou mouvant, jeux de lumière et d'ombre qui enveloppent et vous transcendent, bruissement et chuintement de la nature, frémissement des arbres sous le vent, grondement du ciel sous l'orage qui cassent le silence monacal, espace d'une blancheur virginale immensément grand sans ligne d'horizon qui arrête le regard, plan de masse sur le monastère, bâtisse lourde, enracinée, solide et rassurante; on est loin de la nervosité, de la trépidation de notre vie et le cinéaste a réussi le pari de nous plonger dans un havre de paix et de sérénité. Et puis, il y a ces hommes, encapuchonnés, silencieux qui glissent furtivement de couloirs en cellules, sans cesse en méditation, marqué au rythme de la cloche qui rassemble; ces hommes aux gestes simples qui ponctuent leur journée : on coupe le bois, on brise le pain, juste quelques fruits pour se sustenter, on rase les cheveux, on essuie ses mains sur ce voile qui balance doucement ; ces hommes vivants qui savent jouer avec la nature et prendre du plaisir, un beau moment passé avec ceux qui ont voué leur vie à la recherche d'une authentique vérité intérieure qu'elle soit Dieu ou autre. Ce qui ne m'a pas plu : Un peu long, mais peut-être que cette longueur est la marque du temps qui s'étale lentement.
Aucun commentaire intellectuel. C'est un fim qui se vit, se sent, se voit, s'écoute, se respire. Une rencontre avec soi. Une affaire de séduction entre Lui et Eux.
Hélène Mehus
23 mars 2007 à 07:16
La joie qui iradiait d'un jeune novice africain. L'exploit technique. Ce qui ne m'a pas plu : Ce film m'a profondément dérangée. Pourquoi choisir de nous rendre voyeurs de ce qui ne peut s'expliquer : la foi ? De ce qui est plus intime encore que l'acte d'amour charnel : la prière ? Je suis souvent allée à la Grande Chartreuse et l'expo présentée à la correrie nous en apprend autant que ce film, la gêne en moins. Je préfère garder dans ma mémoire l'image de ce moine rencontré un jour de promenade dans la forêt jouxtant le monastère. Retroussant sa robe sur un pantalon de sport, il riait de tout le bonheur innocent de la course en plein air et ce bonheur dépassait la simple satisfaction du corps. Il vivait pleinement l'union avec les éléments, la nature, les autres, Dieu...
Philippe Lostetter
21 mars 2007 à 10:40
Le recul du réalisateur face à ce mode de vie exceptionnel. Cette façon de nous introduire, de nous donner de prendre part à cette expérience, le temps du film, de partager le quotidien de ces hommes rayonnants. Pas de commentaires, pas de paroles inutiles... L'essentiel. On en sort reposé et en paix. Ce qui ne m'a pas plu : Rien à dire, on se laisse impregnier, on se dépose tout simplement.
Frank Jousseaume
24 févr. 2007 à 17:05
Admirable... Formidable témoignage cinématographique, d'une grande authenticité, de ce qu'est la réalité et la richesse de la vie monastique. Vielen Danke !
Françoise Rodet
10 févr. 2007 à 10:06
Surprenant par le fond et la forme. Beaucoup de gros plans qui rappellent la vie intra muro des moines, la vue à la dimension de la cellule, mais aussi quelques vues de l'extérieur qui traduisent à merveille la région, la pluie... Le grain de l'image qui donne l'impression d'un film des années 50 et qui traduit bien cette vie d'un autre temps. Ce qui ne m'a pas plu : La longueur mais qui est là pour traduire la vie monastique faite de rien et de tout.
Patrick Guerquin
30 janv. 2007 à 15:28
Tout ou presque tout, tant ce regard de la caméra qui est aussi le nôtre est tout simplement heureux de tant de beauté, de vérité... et de silence. Une vraie mini retraite au milieu de ce monde si superficiel et si bruyant ! Ce qui ne m'a pas plu : Rien, même la longueur du film qui en fait nous inscrit dans une durée... presque éternelle !
Marguerite Roy-Malgrange
16 janv. 2007 à 18:03
Que le bruit de la vie est couvert par le bruit incessant de nos paroles;ici les moines se sont mis au silence pour écouter la vie et l'immensité de l'intérieur de l'univers; quasiment pas de parole et c'est si parlant de regarder des visages silencieux qui nous regardent, tout simplement, dans la simplicité absolue de l'instant présent; pas d'artifices, rien qu'être là dans le cinéma à regarder ces êtres qui sont... Ce qui ne m'a pas plu : C'est long mais c'est la respiration du temps qui passe.
Nathalie Musitelli
16 janv. 2007 à 11:31
Effectivement le silence dans lequel baignent des images sobres mais parlantes et uniques à ce jour, à ma connaissance...