Avis - Cartouches gauloises

La Rédaction - 19 août 2008 à 12:23
 Anonyme - 14 févr. 2014 à 22:23
Cette discussion concerne un article du site. Pour la consulter dans son contexte d'origine, cliquez sur le lien ci-dessous.

https://www.linternaute.com/cinema/tous-les-films/2095489-cartouches-gauloises/

Myriam-France ROCHER
12 août 2010 à 21:12
estelle michaud
8 avril 2010 à 11:49
Michel BOURDIN
19 août 2008 à 12:23
la fin de l'Algérie Fran9aise vue par un enfant de 10 ans. Sympa et laisse à réfléhir
SYLVIE JEANNIC
19 août 2008 à 12:23
Très bien
Françoise Dumottier
19 août 2008 à 12:23
réel et touchant
Madeleine Zonza
17 août 2007 à 14:14
A partir d'un sujet historique qui soulève encore bien des passions et des contreverses, Mehdi Charef a choisi le regard d'un enfant pour décrire les derniers soubressauts de la guerre d'Algérie. Tel un lutin, Ali est partout. Il court des quartiers riches des français aux campements des populations déplacées par les "forces de l'ordre". Il vole de la gare au bordel pour distribuer "l'Echo d'Alger". Il joue avec ses petits camarades français qui peu à peu quittent avec chagrin leur pays natal. Témoin de massacres,de l'enlèvement de son père qui sera torturé, il ne juge pas: il souffre du divorce de deux peuples déchirés: Français et Algériens qui avaient malgré tout tissé des liens, surtout parmi les gens modestes. Mais Ali est un enfant et entre deux scènes tragiques,il exprime sa joie de vivre à travers la beauté des paysages de son pays: la montagne ocre, les oliviers, les orangers,l'oued où l'on va pêcher. Et puis, il est fier de son père, le combattant sans doute mort pour son pays. Le jour de l'indépendance, il manifeste sa joie face au drapeau pieusement cousu par sa mère. Et puis ses amis français lui ont laissé un héritage : un ballon de foot "oublié" à son intention et surtout un film, revu cent fois qui lui a donné l'amour du cinéma. Ali, c'est Medhi Charef qui fait parler la mémoire reconstruite d'un enfant parfois idéalisée avec quelques invraissemblances. Mais même présentée à travers un prisme, ce récit est bouleversant, généreux et riche comme témoignage historique. Il s'adresse aussi aux enfants de l'époque qui avaient l'âge d'Ali et qui se souviennent... Ce qui ne m'a pas plu : Tout m'a plu dans ce film.
Très beau film. Aucune exagération de tout bord je pense... De la décence. Ce film est très bien campé : bon script, très bon jeu des acteurs. Personne n'est épargné dans ses ressentis. Plein de fraîcheur dans ce monde de l'enfance, dans cette atmosphère trouble.
René Bouldouyre
9 août 2007 à 21:21
L'eau de rose. Ce qui ne m'a pas plu : Presque tout est inventé ; à l'époque les parents (indigènes ou français) nous interdisaient de jouer ensemble. On nous apprenait à se haïr.
Très émouvante histoire vue à travers les yeux des enfants. Ce qui ne m'a pas plu : Quelques images dures mais réelles.