Avis - Valse avec Bachir

La Rédaction - 19 août 2008 à 12:23
 Anonyme - 22 déc. 2015 à 21:51
Cette discussion concerne un article du site. Pour la consulter dans son contexte d'origine, cliquez sur le lien ci-dessous.

https://www.linternaute.com/cinema/tous-les-films/2119589-valse-avec-bachir/

Sterenn Jobard
29 févr. 2012 à 00:23
AGNES Bugnet
30 mars 2011 à 14:48
Didier Lépine
23 févr. 2011 à 23:37
Myriam WEINDLING
1 févr. 2011 à 23:04
SYLVIE JEANNIC
28 janv. 2011 à 13:22
Stephane FORESTIER
1 janv. 2011 à 03:12
bruno leblanc
31 déc. 2010 à 12:34
isabelle rainaut
25 déc. 2010 à 16:10
Jennifer Chevallier
9 déc. 2010 à 07:51
PATRICE CHAUVILLE
19 nov. 2010 à 20:47
Gwennael BRANTE
1 nov. 2010 à 21:40
david samzun
9 oct. 2010 à 08:01
Magali CASTRO
3 sept. 2010 à 23:37
Jérôme LAGACY
13 juil. 2010 à 19:37
Frédéric Woff
4 juil. 2010 à 19:07
Florence MULTON
23 mai 2010 à 16:10
olivier lecomte
12 avril 2010 à 14:51
Anthony TERRIEN
30 mars 2010 à 14:14
La sincerité, la critique aux propres pays sans patriotismes absurdes qui puissent justifier ce qui s'est passé.
Nathalie Lelievre
29 août 2008 à 18:20
Le graphisme inédit et splendide entre dessin animé et bd, un traitement pudique d'un sujet grave, et beaucoup d'émotions à travers ces témoignages.
Sandrine Augusto
24 août 2008 à 13:22
Spectatrice tres irrégulière, cependant lorsque je me rends a l'utopia c'est souvent pour une bonne raison. Aprés la séance de valse avec bachir je suis sortie de la salle comme abasourdie, voire même choquée. Ceci est peut être un peu fort et pourtant c'est surement la réalité des émotions que nous pouvons ressentir aprés un tel film. J'ai egalement aimé le graphisme peu courant. Pour l'histoire je pense qu'il faut prendre le film tel qu'il est, et, prendre du recul entre ce qui peut être les faits réels et des faits relatés... Si vous voyez ce que je veux dire.
le grand oublié du festival de Cannes. Epoustouflant.
Frédéric PICARD
19 août 2008 à 12:23
Je suis resté dans les vaps pendant 3/4 h. C trés dur, réaliste, poignant.
geraldine milani
19 août 2008 à 12:23
tres intelligement fait, dont on ne ressort pas indemne.
marilyne malter
19 août 2008 à 12:23
magnifique, y a pas d'autres mots
Aurélie Lacouchie
19 août 2008 à 12:23
magnifique !
sonia affani
19 août 2008 à 12:23
Faut le voir
david fontaine
19 août 2008 à 12:23
flippan
Déborah Le Bail-Poutrel
19 août 2008 à 12:23
magnifiquement bien fait; beaucoup d'emotions!!
pierre cauwet
19 août 2008 à 12:23
grand, très grand film
etienne dessage
19 août 2008 à 12:23
super
Jerome FERRI
19 août 2008 à 12:23
Très bien. Je ne regarde que des des dessins animés en films récents. Celui d'avant était "Azur et Asmar" où l'Européen sauve un Arabe, encore une fois. On n'en sort pas.
corinne conejero
19 août 2008 à 12:23
Un docu-animation poignant, petite piqûre de rappel sur les massacres dont sont capables les hommes
Cécile Claude
19 août 2008 à 12:23
J'ai pleuré...
Celine TABONI
19 août 2008 à 12:23
film d'animation très rèussi (pour les plus grands) qui nous parle de la guerre libannaise (année 80) par le biai des souvenirs fragmentés de quelques vétérans
CATHERINE LABORDE
19 août 2008 à 12:23
DESSIN ANIME SUR LA GUERRE AU LIBAN : stupéfiant portrait de ces jeunes soldats qui font la guerre dans le monde et ce qu'ils sont devenus. A NE PAS MANQUER.
Je vais souvent au cinéma, mais cette année c'est le film qui m'a le plus touché
sebastien gaignon
19 août 2008 à 12:23
hum un pur moment de film tranquil dans son lit a manger des noisettes
Ludovic Vergnaud-Rousseau
19 août 2008 à 12:23
Très prenant
Jérôme LEBORGNE
19 août 2008 à 12:23
un film d'auteur sur la guerre du liban, sous titrée c'est le genre de film que j'affectionne tout particulièrement
Jean-Michel Leder
19 août 2008 à 12:23
La guerre du Liban, partant d'un rêve récurrent où il est poursuivi par 26 chiens, ajouté à cela une amnésie de la guerre, une enquête personnelle s'ensuit autour de ses anciens camarades de guerre... Impressionnant ! la plastique, la bande son, et puis la fin, le retour au réel est abouti. Unique en son genre.
Brigitte Foti
19 août 2008 à 12:23
J'ai bien aimé. C'est assez angoissant-
Nathalie DESCAMPS
19 août 2008 à 12:23
très original, très beau et très dur
simon lemoine
19 août 2008 à 12:23
documentaire d'animation sur les massacres de sabra et chatila ... sidérant ! à voir
sylvain clement
19 août 2008 à 12:23
Animation et approche du sujet originales, dernier 1/4 d'heure moins riche.
Frédéric CONSTANT
19 août 2008 à 12:23
Plus le temps passe avec l'arrivée de nouveaux évènements, et moins nous comprenons la situation politique au moyen-orient. Valse avec BACHIR met en lumière la tragédie des massacres des camps de réfugiés de Sabra et Chatila. L'utilisation de l'animation comme support narratif met paradoxalement plus l'accent sur le fond de l'histoire que sur sa forme. La scène finale de document filmé rappelle au spectateur que ce qui lui a été raconté a eu lieu, qu'il ne s'agit pas d'une fiction.
Bruno RABOTTIN
19 août 2008 à 12:23
A VOIR!!!
Julien JONVILLE
19 août 2008 à 12:23
Du mal à m'en remettre
pascaline geoffroy
19 août 2008 à 12:23
terrible!!!!
Wahiba MIMOUNE
19 août 2008 à 12:23
Film très bien fait qui nous entraine dans les massacres de Sabra et Chatila au Liban, en 1982.je ne m'y connais pas trop sur cette partie de l'Histoire mais le film est vraiment intéressant et poignant, surtout la fin...
valérie le mestric
19 août 2008 à 12:23
terriblement émouvant !
forest komou
19 août 2008 à 12:23
ou Gomorra peut-être.
elodie solitaire
19 août 2008 à 12:23
1 docu realite à la façon d'1 film animé, references historiques et fin qui ns fait plonger ds le passé filmé et bien concret de la guerre au Liban.
Muriel DEVAUX
19 août 2008 à 12:23
Bouleversant
Anne sophie Depierreux
19 août 2008 à 12:23
Je pensais voir un film entre Good Bye Lénine et Persepolis .Au final ,c'est différent passer les premières minutes du film ,un peu difficile ,on se met facilement dedans .En fait ,c'est un film sur la mémoire (du déni au passé construit )
Alice GABRION
19 août 2008 à 12:23
superbe... émouvant... terrible...
Valerie MARCOS
19 août 2008 à 12:23
Moins bon que Persépolis mais tout aussi émouvant et enrichissant...
waou...
Aline Eysseric
19 août 2008 à 12:23
Je suis retournée le voir. Et j'ai encore plus aimé
AURELIE FRAGNE
19 août 2008 à 12:23
Somptueux
Sophie MASSON
19 août 2008 à 12:23
à montrer à tout le monde...
hélène brochet
19 août 2008 à 12:23
L'emotion est énorme. lendemain glauque. Une animation rare. Ils méritent leur prix. Merci. Mon impression je veux le revoir....
Marie Chouquer
19 août 2008 à 12:23
tres esthétique
caroline courbe
19 août 2008 à 12:23
Triste mais beau
nathalie pons
19 août 2008 à 12:23
envie de le revoir!
elodie vesvre
19 août 2008 à 12:23
très très bon animation et très bon sujet
chrystelle pro
19 août 2008 à 12:23
film à la fois psy et historique
Agathe MAUGIS
19 août 2008 à 12:23
Super d'avoir, enfin, pu voir ce film grâce au festival Télérama !
brigitte manai
19 août 2008 à 12:23
bcp de films ces tps ci sur la palestine,j'ai vu aussi les citronniers,j'aime les vo.
etienne marsal
19 août 2008 à 12:23
merveilleux
corinne jaillet
19 août 2008 à 12:23
un film-dessiné magnifique esthétique une quête de vérité qui débouche sur comment le cerveau s'y prend pour supporter les atrocités vécues en temps de guerre
delphine logerot
19 août 2008 à 12:23
DESSIN ANIME SUR LA GUERRE : stupéfiant portrait de ces jeunes soldats qui font la guerre dans le monde et ce qu'ils sont devenus. A NE PAS MANQUER. 
sylvia yahya
19 août 2008 à 12:23
une praline doree de vernis contenant en amande le nectar des difficultes de l'humanite...a voir absolument
Thierry DESIR
19 août 2008 à 12:23
ou la
Hélène Delaporte
19 août 2008 à 12:23
Bon, d'après Paul, un ami qui m'avait accompagnée et me demandait si c'était bientôt fini, il n'y avait pas de rebondissement.
MARIE-ANNE GUIBEREAU
19 août 2008 à 12:23
Extraordinaire, esthétique et fond réunis, un bijou!
Nathalie BOUDY
19 août 2008 à 12:23
Superbe, graphiquement, entre docu et fiction, prenant, happant, magnifique, à voir et à revoir, je pense !
Ghazi CHAOUACHI
19 août 2008 à 12:23
Sans commentaire
arnaud poujade
19 août 2008 à 12:23
trop de nmassacre ou de genocide passés sous silence et dans l oubli. encore une realité du monde, qui donne envie de fuire la réalité barbare humaine.
Jean-Luc Pascaud
19 août 2008 à 12:23
Touchant
Pierre MASSE
19 août 2008 à 12:23
Terrible et subtil, émouvant, terrifiant et révoltant
jeanne chaumont richard
19 août 2008 à 12:23
documentaire en animation.original et interessant.
Richard JOLIVET
19 août 2008 à 12:23
Film d'animation magnifiquement bien fait.
Un bon moyen de comprendre la guerre au moyen orient !!!
Béatrice Le Toulouse
19 août 2008 à 12:23
scénario très bien construit, approche très sérieuse de cette période inexistante au cinéma
Excellent film mais très très dur !
laetitia kloster
19 août 2008 à 12:23
dur réalité
Mireille BASSELER CRAHAY
19 août 2008 à 12:23
Une réponse à quelques questions sur la guerre, Israël, Palestine, Liban ..., une page d'histoire.
daniele jacquinot
19 août 2008 à 12:23
extra !
Cécile Decluy
19 août 2008 à 12:23
A voir absolument
Boris CHARON
19 août 2008 à 12:23
Le retour aux images réelles et au silence pour les cinq dernières minutes fait froid dans le dos
carole sarfati meyer
19 août 2008 à 12:23
Film édifiant relatant le malaise profond de la société isrélienne.Un gars de Tel Aviv empreint de culture occidentale se retrouve dans l'enfer de la 1ère guerre du Liban.Ce film nous rapelle qu'il n'y a qu'à genève que les guerres sont "propres",qu'un force armée rentrant dans une ville hostile, se voit tirer des lances roquettes. par les civls .Paradoxe, ce"cri" utile pour les israéliens mais que l'occident "déculpabilisé" ne peut percevoir de manière réaliste
Bernard ROUSSEAUX
19 août 2008 à 12:23
j'en suis sorti un peu destabilisé
Philippe Tanguy
5 juil. 2008 à 23:12
Le 6 juin 1982 j'étais volontaire chrétien dans un kibboutz à la frontière israélo-libanaise et j'ai encore dans la tête le bruit des bombardiers chargés de bombes passant en rase-motte au dessus de ma tête! j'en frémis encore... Aussi je comprends fort bien Ari Folman; nous, les "camarades" kibbutnikim nous avons tous fait partie de la grande manifestation à Tel-aviv contre les massacres, ce qui a permis de nous auto-exorciser immédiatement. L'excellent graphisme nous transporte sur place et nous fait comprendre toute l'horreur de la guerre Après les Citronniers et Beaufort le cinéma israélien nous offre une fois de plus un petit chef d'oeuvre sur la souffrance, la culpabilité, l'auto-critique ; peut-être y aura t-il un jour un film français sur les massacres bien plus conséquents de Sétif en 1948?!... Ce qui ne m'a pas plu : Sans doute Folman aurait il du parler des vraies raisons de la vengeance des phalangistes : le massacre des chrétiens de Damour par des milices palestiniennes.
Un esthétisme froid ; des graphismes très recherchés. Ceci au service de témoignages sur la guerre du Liban souvent poignants. Au cours du récit, Ari Folman retrouve des bribes de souvenirs sur la guerre du Liban que sa mémoire avait occulté. Ceci en rencontrant plusieurs dizaines d'années plus tard ses anciens camarades envoyés comme lui en mission lors de cette guerre. Il va progressivement prendre conscience de la responsabilité de l'état major israélien dans les massacres perpétrés par ses alliés phalangistes chrétiens dans les camps de Sabra et Chatila ...Une réflexion profonde sur la guerre et les traumatismes qu'elle engendre, transposable à beaucoup de conflits. Le cinéma israelien témoigne une fois de plus de sa vitalité. Et un citoyen israelien montre une fois de plus qu'Israel est une démocratie (armée certes), mais une démocratie Ce qui ne m'a pas plu : Une vision parfois simpliste des évènements... Tout n'est sans doute pas tout blanc ni tout noir...
Marie France Izoulet
3 juil. 2008 à 20:45
Documentaire d'animation d'une effroyable mais sensuelle beauté et comment avec une plume et de l'encre, on dénonce la cruauté absurde d'une guerre. Film d'un genre tout particulier parce qu'il est aussi autobiographique, qu'il tient lieu de thérapie pour le réalisateur fouillant dans les circonvolutions de la mémoire et parce qu'il mêle de vrais témoignages poignants aux images d'un époustouflant mais glacial esthétisme. Saisissantes les premières images, des molosses vengeurs, 26 chiens, meute féroce, écrasant tout sur son passage, sur fond bleu-acier et nuit profonde; image récurrente d'un rêve qui hante les nuits d'un vieil ami d'Ari, compagnon de guerre au Liban dans les années 80. Quelle signification donnée à ce rêve? Il avait pour mission d'abattre les chiens avertissant les villageois palestiniens de toute intrusion meurtrière. Ari, lui n'a pourtant, jusqu'à ce jour, aucun souvenir de cette période, mais l'évocation de ce rêve par son ami, déclenche l'apparition d'une étrange mais inquiétante image, celle de deux hommes nus, sortant de l'eau, avançant sur une plage, se rhabillant pour s'infiltrer dans une ville, silence pesant, lumière lunaire. Intrigué par ce flash répétitif, il décide de rencontrer ses anciens camarades de guerre, maintenant éparpillés dans le monde afin de reconstruire sa mémoire. Peu à peu, au fil des témoignages, les parties jusqu'alors occultées, s'agenceront jusqu'à ce jour où le massacre des Palestiniens par les phalangistes chrétiens aura lieu; à ce moment-là, le puzzle sera terminé et il comprend l'ignominie de l'action militaire à laquelle il a participé. Film sur la mémoire, mémoire individuelle et collective, mémoire que l'on vide inconsciemment, amnésie personnelle ou collective, on refoule car regarder en face l'atrocité est insupportable d'autant plus qu'on y a été acteur; pourtant la vérité se doit. Le pari est réussi, la forme filmique tient le spectateur à distance qui suit par ce va et vient entre images vraies et images oniriques la quête identitaire d'Ari. La sublimation de l'horreur par le travail de l'images donne force au propos du réalisateur qui condamne les actions assassines des hommes ou des peuples entre eux."
Tout. Au travers d'un film d'animation dont les images sont inoubliables, un film-documentaire qui aborde à la fois(et très en profondeur) l'horreur de la guerre, la guerre du Liban, les massacres de Sabra et Chatilla, et l'inconscient face à l'indiscible.
David Yaghil
25 juin 2008 à 09:38
L'idée, la technique, le scénario.