Avis - La Dolce Vita

Il faudrait des dizaines de pages pour commenter de manière positive ce film. On n'aime pas un film comme celui-là, on le ressent au plus profond de soi-même. C'est une oeuvre qui vous prend aux tripes, qui vous met parfois mal à l'aise (et c'est bien), qui vous sort de vous-même et vous permet de réfléchir à de multiples éléments existenciels, sans jamais ennuyer. Trois heures de film qui paraissent plus courts que certains de 1H30. A voir, à revoir, à re-revoir. A réfléchir. Un film qui rend le spectateur intelligent. Merci FELLINI. Ce qui ne m'a pas plu : RIEN. Je ne peux pas dire un seul mot négatif sur ce film génial.

Le Fellini visionnaire... tout sur la dérive des média, dès 1960 !

Fellini

simple..juste.classique.

Federico Fellini est un maître du cinéma italien...

J'ai vu ce film ado...

une époque révolue... et Rome au petit matin qui ressemble à toutes les autres villes qui se réveillent... mais on n'a pas tous les jours Anita Erkberg dans une fontaine !

Chef d'oeuvre des chef d'oeuvre : chaque scène est potentiellement culte. Le plus grand film de Fellini et de très loin !

La plus belle scéne d'une fontaine avec Anita Ekbert éblouïssante de blancheur.

Charme, classe et élégance italienne

mastoianni et con coupé alfa romeo des années 50

Parce qu'il n'y a pas qu'Audrey qui materne les petits chats. Mais pour le reste aussi.

Federico Fellini

FELLINI

mythique!!

Fellini

Tout est bien en ITALIE

Un film culte.

Peut-être le film le plus connu de Fellini. "Dolce vita" est devenue une expression internationale tout comme le terme "paparazzo" (le personnage de Walter Santesso). Fellini raconte le parcours d'un journaliste de la presse à sensation qui recherche le scandale et le sensationnel. La Dolce Vita est un film sensuel et désarçonnant, dans lequel le réalisateur a concentré ses obsessions. Les doutes existentiels du journaliste Marcello Rubini, écrivain raté et ses amours dans la Rome des premières années du boom économique sont les nôtres. Marcello s’enlise de plus en plus dans un milieu qui dégage une forte odeur de décomposition. Pour filmer la réalité, Fellini en filme l’idée, le rêve. Avec La dolce vita, Fellini rompt avec l’école néo-réaliste. Il se rapproche de Buñuel, de l’analyse des pulsions contradictoires et de la surréalité qui en dit long sur le monde dans lequel nous vivons. Sans préjuger des mœurs observées, Fellini agit en moraliste. La décadence l’obsède. Mais il n’a pas de remède. Les personnages répètent les mêmes actions, s’enferrent dans des modes de fonctionnement. A la fin du film, un pauvre poisson échoué sur le rivage contemple d’un oeil morne l’immensité du ciel. De la même manière, les personnages du film, à force d’avoir trop vu, regardent leur vie sans la voir.