Avis - Douze hommes en colère

La Rédaction - 20 déc. 2006 à 12:44
 Anonyme - 5 juil. 2017 à 00:06
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Jean-Pol Cardin
1 févr. 2016 à 16:32
Un film fort, un film comme l'on en rencontre très rarement, une tension psychologique incroyable, tout cela entouré dune réalisation très fine et une interprétation exceptionnelle. Un film à découvrir ou à revoir, c'est selon. Moi, j'ai adoré.
svp pouvez vous répondre : a ton prouvé que l'adolescent n'est pas coupable?
Emmanuelle GAUDIN
4 mars 2011 à 10:03
carlos fernandes
17 déc. 2010 à 21:14
daniel friboulet
16 déc. 2010 à 13:08
jeannine cachart
1 nov. 2010 à 14:54
Caroline Rougé
31 oct. 2010 à 17:41
Michel DAQUIN
18 oct. 2010 à 23:04
jacques etancelin
16 oct. 2010 à 10:17
Sandrine DE MELO
14 oct. 2010 à 15:25
Thierry Nayagom
19 sept. 2010 à 14:00
stéphane le lièvre
8 sept. 2010 à 16:05
Arnaud LEMASLE
21 juil. 2010 à 11:31
Benjamin CASTEL
18 juin 2010 à 13:54
dominique gimaret
1 juin 2010 à 12:14
Laurent Garnier
18 mai 2010 à 04:51
un classique parmi les classiques. Bon, ça se passe sur une trame judiciaire mais dans le fond on peu le transposer dans d'autres domaines. Ne pas s'arrêter au apparences, réfléchir sur les informations dont l'on dispose et savoir douter car c'est souvent plus salutaire que d'éprouver de bêtes certitudes. D'ailleurs je suis tellement certain de ce que je viens d'écrire que je suis soudainement pris d'un doute... En tout cas évitez les remake de seconde zone (michel Leeb dans le rôle d'henri Fonda... ouash...).
Pascal LEFEVRE
30 mars 2010 à 17:32
L'art du management !
Serge Violette
12 févr. 2010 à 17:26
Simplement, même lorsque nous nous définissont comme "Impartiaux", notre vie privée et nos échecs personnels influent sur notre jugement et masquent parfois les évidences. Happy end grâce au personnage d'Henry Fonda qui extirpe la vérité de par les faits et non par ses sentiments.
Comment maintenir l'intérêt du spectateur tout en restant dans un seul lieu. L'exemple idéal pour démontrer comment on peut adapter une pièce de théâtre au cinéma. Des acteurs formidables, un rythme et une mise en images efficaces.
Emmanuelle Fourmaux
22 oct. 2007 à 22:05
Très bon film avec Henry Fonda
Thierry SCHNEIDER
22 oct. 2007 à 22:05
Je suis fan des deux versions.
Laurent JEANMOUGIN
22 oct. 2007 à 22:05
sur la nature humaine et son coté versatile
Fleur Morlet
22 oct. 2007 à 22:05
Vieux film en NB mais l'histoire vaut franchement le coup !
sebastien beuffre
22 oct. 2007 à 22:05
(Sidney Lumet)
Charles BERG
22 oct. 2007 à 22:05
Un huis-clos d'une très grande force. Le plus grand rôle de Henry Fonda.
Anne-Claire HUMBERT
22 oct. 2007 à 22:05
Un vieux film, toujours très d'actualité. Plein de thématiques traitées en un film. Très fort... Sans parler des beaux yeux de Henry FONDA !!!
Jacques Lebreton
22 oct. 2007 à 22:05
...Grosse inspis de pas mal de série à priori (qui à dit Dead Zone ?)
YVON GOUBET
22 oct. 2007 à 22:05
La liste peut être très longue. Il y a beaucoup de très bons films et dans des genres qui peuvent être très différents.
danielle de beauchamp
22 oct. 2007 à 22:05
à voir impérativement, vieux film N & B à ne manquer sous aucun prétexte, enfin c'est mon avis et je le partage sûrement avec plein d'amoureux du bon cinéma
David ZOUGUI
22 oct. 2007 à 22:05
Un excellent huis-clos.
Tiphaine Hérault
22 oct. 2007 à 22:05
1957 - Sydney Lumet. Avec Henry Fonda.
Clara Gimenez
22 oct. 2007 à 22:05
Un super film que j'ai vu en classe.
Nicolas TRITTEN
22 oct. 2007 à 22:05
Impressionnant !
Jérôme PAULIN
22 oct. 2007 à 22:05
Un film culte
SOPHIE SLACHCIAK
22 oct. 2007 à 22:05
super film sur un jury aux USA !
Caroline LEROY
22 oct. 2007 à 22:05
classique
Dominique DERYCKE
22 oct. 2007 à 22:05
Quand on a raison il ne faut rien lâcher j'adore!!!!
Caroline BRZESKI
22 oct. 2007 à 22:05
scotchée...
henri fonda
mathieu le breton
22 oct. 2007 à 22:05
Mes études m'auront aussi servi à découvrir ce huis clos formidable, qui aborde énormément de facettes prépondérantes du caractère humain Excellents acteurs, suspens qui vous tient en haleine...50 ans, déjà?
Stéphanie POTEL
22 oct. 2007 à 22:05
A voir...
Vanessa BRIAND
22 oct. 2007 à 22:05
Avec Henri Fonda. Je n'aime pas trop les vieux films mais celui-ci est un classique intemporel que chacun se doit d'avoir vu.
Sophie MICHEL
22 oct. 2007 à 22:05
Avec une Louise en colère aussi...
caroline vennet
22 oct. 2007 à 22:05
film d'énigme du type Agatha Christie
Magali DELAUNE
22 oct. 2007 à 22:05
très accrocheur pour un huit clos - n'a pas pris une ride...
FRANCOIS LAGAUZERE HIRIART-URRUTY
22 oct. 2007 à 22:05
Dans le même registre que "Garde à vue", un huit clos intéressant, bien interprété et qui fait réfléchir.
Marie-Laure Pardo
22 oct. 2007 à 22:05
c'est un film pas mal mais le seul hic c'est qu'il est en noir et blanc
Alexandre SMADJA
22 oct. 2007 à 22:05
Le devoir de réflexion, ne jamais juger les autres,...
olivier calais
22 oct. 2007 à 22:05
de Sidney Lumet
Lionel SAMSON
22 oct. 2007 à 22:05
excellent henri fonda entre autres !
André Bazet
22 oct. 2007 à 22:05
de Sydney Lumet
PETER CARVAJALES
22 oct. 2007 à 22:05
niquel .
Mathieu BATY
22 oct. 2007 à 22:05
J'ai trouvé ce vieux film génial
vincent Vir-Cohen
22 oct. 2007 à 22:05
un chef d'oeuvre a voir et a revoir. 1957 ils avaient déja tout compris. Le suspens tombe nous n'avons rien inventé.
Sabine LE LEIZOUR DE ROHELLO
22 oct. 2007 à 22:05
génial je le conseil a tous le monde
Nicolas JOURDREN
22 oct. 2007 à 22:05
Pour le huit clos et la "morale" de l'histoire.
mickael bonnel
22 oct. 2007 à 22:05
LA VERSION DE 1957
warda sandra djenidi thébault
22 oct. 2007 à 22:05
un grand film !
Sebastien Whenham
22 oct. 2007 à 22:05
Un vieux film que j'ai découvert il y a peu, mais voilà de quoi prendre une belle claque... A méditer...
un huis clos entre 12 jurés. Peine recquise : chaise électrique, vote préliminaire 11 coupable, 1 non coupable...
philippe rouchy
22 oct. 2007 à 22:05
Puissant huis-clos ou l'on saisi la complexité d'une decision de juré, qui passe par toute les étapes de la decision de prison ferme jusqu'a la relaxation en evoquant toutes les raisons pour lesquelles on passe du noir au blanc et vice versa. Du cinema puissant avec des acteurs qui peuvent recreer la complexité sociale: une chose que le cinéma francais ne sait pas encore faire.
Philippe Carlier
22 oct. 2007 à 22:05
une voix comptera toujours
abdelghani zadi
22 oct. 2007 à 22:05
henry fonda est convaincant
Alexandre ORSONI
22 oct. 2007 à 22:05
Deux mots : regardez le !
inès zapico
22 oct. 2007 à 08:28
Un classique; Noir et Blanc, Humprey Bogart Une situation peut être un peu caricaturale mais qui donne à réfléchir et qui est toujours d'actualité
Béatrice SAINTE-CATHERINE
22 oct. 2007 à 08:28
(Sydney Lumet)
Marton Radkai
22 oct. 2007 à 08:28
Who are we to judge and how careful we must be in doing so
Nathalie VERNA
22 oct. 2007 à 08:28
super film en huis clos de 1957
Pierre Boiton
17 juil. 2007 à 22:30
Tout ; j'ai dû le voir une demie douzaine de fois, plus une fois au théâtre et une fois en stage de psycho... ; j'aime la facture classique de ce huis clos ; j'aime le personnage d'Henry Fonda qui gagne sans triompher, qui rend les autres intelligents, qui les rend bons, qui les rend humains quoi !
Valérie Herbert
7 juil. 2007 à 17:49
Le huis clos, la psychologie des personnages, le charisme d'Henry Fonda, les dialogues, les retournements de situation, la réflexion sur la justice américaine et plus généralement sur l'éthique : faut-il déclarer un homme coupable en tout état de conscience même si on sait qu'il y va de sa vie ? Une réflexion sur la peine de mort également... Ce qui ne m'a pas plu : Peut-être un scénario un peu poussif même si l'intrigue est menée avec subtilité : arriver à faire changer d'avis 11 personnes très différentes socialement et culturellement relève de l'exploit !
Gerard Henry
24 mai 2007 à 22:19
En haleine tout le film.
Udayanga Amarasekara
20 déc. 2006 à 12:44
Dans l’inoubliable première rencontre Fonda - Lumet, avec le film Douze hommes en colère(1956), on assiste à une scène où un jury est rassemblé au sujet d’un adolescent présumé meurtrier pour avoir poignardé son père. Le film est presque entièrement réalisé dans la salle de réunion du jury. Un seul membre du Jury (le n° 08), l’architecte, (Henri Fonda 1905-1982, Etats Unis) n’est pas convaincu que les témoignages révèlent la vérité au sujet de l’adolescent. Il démontre la nécessité de ne pas condamner le jeune sur des préjugés à propos des délinquants de quartiers défavorisés. Le jury, après s'être acharné sur l’accusé, arrive à la question principale, cruciale et décisive : comment et de quelle façon l’homme a-t-il été poignardé ? Parmi les membres du jury, il y avait un homme qui venait d’un de ces quartiers défavorisés, celui-ci montre la véritable gestuelle de la main dans l'utilisation d'un tel couteau, et celle-ci ne correspondait pas aux témoignages. Cette connaissance sur la main sauve ainsi l’accusé qui était un adolescent innocent, dont ne voit que le visage effrayé, en gros plan, pendant une seconde, au tout début du film.
Marie Andrée Seraphin
24 mai 2006 à 19:06
La dimension éthique et pédagogique.