Avis - Broken Flowers

la ballade et la musique

Trop pourri!

incroyable: ce n'est pas un film, c'est une ambiance. une absence d'histoire qui vaut toutes les histoires.

Bill Murray........ grandiose !

Bill Murray dirigé par Jarmush, classieux !

Jim Jarmusch nous livre ici un film très très bien réalisé et assez troublant sur la condition d'un homme plutôt perdu dans sa vie et en quête de réponse.

excellent Bill Murray as usual

c'est le Japon !!!

J'adore Bill Muray !

Excellent, Les bras m'en tombent ghfshpojfggf,bf;

Euh, c'est pas mon truc, j'ai pas aimé

Bill Murray fantastique !

de Jim Jarmusch

un bill murray don juan en quête de paternité, s'humanise peu à peu en menant l'enquête sur la mêre de son soi disant fils. un film de jarmush tout en finesse.

dans le même esprit que "lost in translation", il ne se passe rien mais celui -ci a ma préférence car il revoit ses ex et c'est très drôle !

acide subtile humour desenchanté ...j'ais bien aimé

no comment..

il est trop fort ce Bill Murray

top, je conseille mais pas a quelqu'un de trop fatigué.

pour jarmusch toujours pour bill murray (exceptionnel) à voir et revoir !!!

Jim Jarmush !!! Génial !!!

je n'ai pas aimé!!

Jim Jarmush

Jim Jarmush

Belle peinture de la société américaine à travers plusieurs portrait de femme, Bill Marray nous entraine dans un spleen complice avec un petit affro jazz en fond sonore, si on se laisse bercer on plane...Ben voilà excellent quoi ...

on cherche toujours son pere, ou son fils.

mais je l'ai pas vu en entier , heureusement que j'ai le dvd

A la recherche du temps perdu.

AAAHHHH, il ne se passe rien et il n'y a pas de fin !!!

N/C

execellent fillm

Certains l'ont trouvé trop mou, moi je l'ai vraiment apprecié.

Fan de Jim Jarmusch

pas mal

un DVD acheté il y a quelques temps, je ne suis pas rentrée dedans, pas convaincue par l'histoire bof bof

un peu degeu mai sympa

Spécial mais subtil ..

"On" m'a mis devant le film...comme d'hab...et puis j'ai pas regretté. Bonne BO en plus!!! Vive la musique Ethiopienne!

Jim Jarmusch

Bill Murray et Jim Jarmush !

Avec Bill toujours, ambiance très spéciale

film de ouf

Eh oui, encore !

bo extra

L'excellentissime bande son, le jeu de Murray (inimitable), le rythme (pas absent, non, à l'image de l'indolence de son héro... Il apporte plus au film qu'il ne lui coûte a mon avis). Ce qui ne m'a pas plu : La fin un peu floue.

Ce qui ne m'a pas plu : Tout et, notamment, le fait d'être trimballé dans une bagnole d'un bout à l'autre du film avec la tête inexpressive d'un acteur embourbé dans son jeu.

L'histoire et les acteurs. Ce qui ne m'a pas plu : On reste un peu sur notre faim à la fin du film, mais cela était voulu par son auteur.

The women actresses are finely tuned. Bill Murray just plays a tired out blase guy with a subdue sense of hidden humour. But I dont understand why he is so tired ? Would like to know more about the various stories before the re-visitations. On the otherhand, American broken love stories are more or less the same, no need to go into details, the only details thats interesting is the man and the women… so broken flowers are the only points of interests worth seeing, so this movie in its way is skipping the blah blahs and cutting to the quick. So we see one flower- flower child turn bourgeoise, flamboyant race car driver hottie (Sharon Stone) turns older non chalant hottie w easy going child raising – the ambiance is good, she just gets rid of her past like those fancy tubular chairs out on the lawn with practicality in mind, she doesnt just throw it away, she sells them at small price to get a few bucks back – the others are so many variations of women, as they age, and the man ages on his side his life is not much better than the broken flowers – time passing - nobody gets the upper hand. Catching air of a time thats a little hard to catch Ce qui ne m'a pas plu : Should know a little more about Bill, why is he so tired? Male lead plays his signature humour, charm, silly man persona - no depth development. He existed as an eye witnessing his own life via the women. This is hiding - its easy to be the observer - but how about the observer himself being evaluated, observed too?

J'ai beaucoup aimé le jeu de Bill Murray. Il est très expressif sans gestes ou mimiques superflus ce qui est très impressionnant. Je ferais un parallèle avec le film de Sofia Coppola "Lost in translation" au niveau du caractère du personnage qui est aussi bien "lost" que dans ce film.

L'humour décalé, la facon de filmer, le scénario (bonne idee de depart), les rares moment drôles ou émouvants... Ce qui ne m'a pas plu : Un navet dans son ensemble, les bons acteurs n'arrivent pas à le sauver. Répétitions des scènes de conduite sur la route (je sais que les highways américaines sont longues...mais franchement quel interet?) Bill Murray doit maintenant faire attention a ne pas se cantonner qu'à des rôles de losers/atoniques!! Autant Lost in Translation avait un corps et une ame...ici rien de tout ca

Dès que les lumières de la salle se sont rallumées, les gens s'en sont allés, donnant leurs différents avis à qui voulaient bien les entendre. Moi je restais plongé dans mon fauteuil, abasourdi. Pourquoi ce film manquait-il cruellement de sens? Pourquoi le fil de l'histoire était-il si lent, si mou, si passif? "la forme, disait Victor Hugo, c'est le fonds qui remonte à la surface": c'est probablement là que se trouve la clé du film. Jarmush nous montre un personnage qui se laisse porter par les évènements, à l'image du film. Jarmush ballade le spectateur dans un monde humain qui se déconstruit, se déshumanise et qui en parallèle, s'animalise pour finalement disparaitre et se fondre dans le décor artificiel créé par l'homme. Il suffit de porter attentivement notre regard sur les cinq femmes que le héros va rencontrer pour se rendre compte de cette tournure tragique. La première femme (Sharon Stone) paraît presque normale. Mais elle est tiraillée entre le besoin de faire le deuil de son mari décédé (déjà la présence de la mort) et celui d'oublier cette mort dans l'alcool et le corps du héros, de facon stérile. Elle est veuve et il lui manque un mari. Elle ne peut éduquer son mari de façon équilibrée et l'on voit bien que l'éducation de sa fille fait défaut. Celle-ci se promène nue dans la maison. Comme un animal, elle n'a plus besoin de ses vêtements. La mère se jette de façon presque bestiale sur le héros. La mort du père a donc pour conséquence de rendre sauvages la mère et la fille (n'oublions pas qu'il n'y a pas de voisins). La deuxième femme habite dans une maison froide, toute blanche, sans aucun relief ni excentricité. C'est presque une maison stérilisée. La femme ne veut pas d'enfants: elle aussi est stérile. La maison est condamnée à ne supporter que les gloussements du mari. Leur refus de se reproduire montre bien un monde qui se fige, et une famille qui n'existera jamais, alors que la maison pourrait en contenir facilement 2 ou 3. A nouveau, certains plans sur les verres de vin affiment une volonté de s'enivrer pour oublier le mal qui règne ici: la stérilité. La troisième femme est... vétérinaire. Elle soigne les animaux (plutôt que les hommes). Elle même est animalisée : elle parle aux animaux et ceux-ci la comprennent. Mais elle est stérilisée dans le même temps: elle est lesbienne (rappelez-vous la secrétaire aux jambes de treize km). La quatrième femme est blafarde et se drogue. elle ressemble à une mort-vivante. Elle est donc tout à fait stérile et refuse la compagnie masculine (le héros est assomé). Les hommes ne sont là que pour la protéger, alors que chez les animaux, ce sont les femelles qui assurent la sécurité, notamment des enfants (comme chez les lions par exemple). Elle, n'a visiblement pas d'enfants et a même... avorté! Elle a donc éteint sa stérilité et ne s'en remet que de façon éphémère, dans la drogue. La machine à écrire, machine à créer est dans l'herbe, relique d'un temps passé. Il ne se créera plus rien ici. Il n'y a de place que pour la violence et le néant (coup de poing fait apparaitre un fonds noir brutal). En fin, la dernière femme est... morte. Le héros pleure sur sa tombe. Dom Juan est déchu, il n'aura pas de progéniture. Les femmes qui auraient pu être la mère de son pseudo-fils lui ont laissé sa chance. Mais à mesure que le film avance, on se rend compte que plus aucune d'elle ne veut de lui. Don Juan est condamné à la stérilité à perpétuité. Le film débute sur une rupture, une séparation et donc une fin. Le film est fini avant même de commencer. Il n'y a que des faux espoirs. Sharon Stone veut-elle faire de lui une alterantive au père décédé? Non elle veut s'envoyer en l'air. d'ailleurs elle a déjà oublié ses paroles de la veille quand elle s'éveille. Lui non. Les autres, visiblement toutes traumatisées ont pris une ferme résolution. Don juan n'est plus qu'un mythe, un souvenir dans leur tête. Mais si Don juan n'est plus là, il n'y a pas non plus de reproduction de l'espèce. Et le monde humain tend à disparaitre. Les rues sont vides ou vidées. Sur la route on ne voit que des animaux. Le langage ne permet plus la communication entre les êtres. Par exemple, la vétérinaire dialogue avec un chat ou bien le héros demande sa route et n'a pour réponse qu'un geste de main. Le héros est lui même animalisé : il obéit aux instructions de son ami, comme un chien. Et son ami porte le même nom que ... le chien de la vétérinaire... étrange, non? Lui et sa femme se reproduisent comme des lapins, comme des "chiens", comme des animaux. Il fume... de l'herbe, comme les vaches qui en broutent. Bref, le monde humain fait de nouveau place au règne animal. les animaux etaient là avant et ils seront là après. Don juan, figure de l'Homme, n'était qu'un épisode et ses conquêtes sont des défaites. La scène finale est mémorable. Croyant avoir retrouvé son fils il le poursuit et se retouve au milieu d'une rue. Le fils part à droite et le fuit, une voiture avec des hommes qui ne parlent pas part à gauche en le regardant dédaigneusement. Lui est immobile. La stérilité et la disparition du langage viennent de s'affirmer sous ses yeux. Il est voué à la mort, dès à présent. Les deux bandes sur sont pull (type adidas) sont identiques aux deux bandes centrales de la route: il se fond désormais dans le décor. C'est la fin d'un règne. Don juan est maintenant sans avenir et sans considération. Il devient la route sur laquelle les autres vont continuer à rouler et à se dépeupler. Le silence clôt le film. Don juan à force de rompre a rompu avec le monde et la vie. Il n'est plus rien. On ira jeter des fleurs sur sa tombe, des fleurs qu'il donnait auparavant pour séduire, des fleurs désormais brisées.

La musique, Sharon Stone Bill Murray et Jim Jarmusch sont remarquables. Ce qui ne m'a pas plu : Le film est un mélange de mélancolie, de nostalgie certes mais il est mou, sombre, ennuyeux... Je suis restée en attente !

Ce qui ne m'a pas plu : Un vieux beau antipathique et désabusé part sur les traces de ses anciennes conquêtes à la recherche d'un hypothétique rejeton qu'il aurait semé par mégarde. Il traîne son ennui sur les routes d'une amérique sinistre, dans un voyage qui n'a rien d'initiatique, mais plutôt de désespérant. les plans sans intérêt d'une longueur insupportable m'ont fait craindre que la durée des trajets soient en temps réel : on risquait d'y passer la nuit... On se demande vraiment ce que font des excellents acteurs et actrices dans cette galère.

Jim Jarmusch a réalisé un film au scénario original. L'idée de départ est excellente : un homme à la dérive se retrouve contraint (par qui ? le mystère reste complet) à voyager à travers tout le pays pour retrouver sa fille qu'il ne connaît pas, et la mère (hypothétique) de sa fille. L'homme, au départ tout à fait apathique, se trouve soudain confronté à son passé, à ses ex-petites amies. L'image qu'elles lui renvoient le forcent à réfléchir sur sa propre vie et ce qu'il est devenu. Ce qui ne m'a pas plu : Des plans fixes un peu long. J'ai trouvé aussi que l'idée n'avait pas été complètement exploitée. Je me suis un peu ennuyé, car lorsque l'on connaît un peu l'histoire racontée dans le film, aucun bouleversement ni retournement de situation n'est à prévoir...

Ouais, aller pour tous ceux qui ont raté "Lost in translation" peuvent se rattraper avec "Broken Flowers". Pourquoi ? Parce que c'est le même film !

L'histoire... et les deplacements en voiture de Bill, au moins il y a un peu de musique ! Ce qui ne m'a pas plu : Le manque cruel de rythme... avec un Bill Murray qui ne fait rien pour dynamiser l'affaire... C'est son rôle, mais ses silences sont lourds !! Le diner (extrait n°5) en est l'exemple le plus frappant... pathétique.

Voir l'avis d'Elsa, on ne peut dire plus...

Les voisins qui vivent...à leur façon ! Ces femmes atypiques avec leurs situations farfelues et si bien interprétées! La morale de l'histoire : profitons du présent et l'originalite du scénario. Ce qui ne m'a pas plu : Trop de plans statiques et ces voyages ennuyeux en voiture ; j'aurais aimé plus d'originalité dans le jeu de Murray.

la fin où ne comprend rien. Et aussi quand je suis sorti dehors. Ce qui ne m'a pas plu : C'est épouventablement long et rasoir. Bill est parfois drôle, et pendant 15 secondes on espère quele film va enfin décoller, et rien, on reste à l'aéroport de l'ennui. Rien n'y fait, pas même le derrière dénudé de la fille de Sharon Stone, ni la pauvre Jessica Lange aux portes de la sortie de secours. Non vraiment je ne comprends pas l'engouement assez généralisé pour ce film qui ne mérite même pas une location DVD.

L'affiche... Ce qui ne m'a pas plu : Les longues scènes de silence, la fin et le rythme désespérément monotone.

Jim Jarmusch + Bill Murray = une équation imparable. Le film évolue dans un faux rythme typiquement Jarmuschien, dans la lignée de Stranger than paradise ou encore Dead man. Bill Murray traîne son air las, dans la lignée de Lost in translation. Ce glorieux atavisme donne un film original, succession de saynètes tantôt drôles, tantôt émouvantes évoquant le passé d’un homme désabusé, qui n’a pas pu/ voulu / su s’engager tout au long de sa vie. A l’heure où il apprend qu’il a un enfant, il revisite ce passé. L’occasion lui est donnée de faire le bilan tout en agissant dans le présent à l’occasion d’un voyage spatio-temporel : d’un lieu à l’autre, Bill Murray/ Don remonte le temps, à la recherche de son enfant et surtout de son identité perdue. Broken Flowers est un film attachant. A l’inverse de la tendance actuelle, Jarmusch prend son temps. Cela donne un film tout en langueur, entre mélancolie et nostalgie. La performance des acteurs est remarquable. On a tout dit de Bill Murray, excellent comme d’habitude. Le tableau est complété par un quatuor magique Sharon Stone, Frances Conroy , Jessica Lange, Tilda Swinton, parfaites chacune dans leur registre. Si le film avait été muet, le jeu des acteurs/ actrices se serait suffit à lui-même pour comprendre l’histoire. Bref, le film est brillant, à tous les niveaux.

Le jeu d'acteur de Bill Murray. Ce qui ne m'a pas plu : les plans séquence toutes les 5 minutes, les plans dans la voiture devenant lassant.

Le sujet m'intéressait. Une enquête quasi policière au sujet d'une petite lettre rose glissée sous la porte d'une maison cossue un samedi matin. Maison qui contraste avec l'environnement gentiment familial d'une banlieue américaine à prix modérés... Le mystère s'épaissit quand le destinataire ouvre le courrier.Une des anciennes conquêtes de ce don Juan fatigué lui annonce qu'il a un fils de 19 ans. Pas de nom, pas d'adresse...Cela intrigue fortement le voisin et copain du monsieur. Il n'est pas riche mais semble heureux avec femme et enfants.Il rêve de construire des romans policiers via internet..C'est lui qui prépare une sorte de " fly movie" pour le riche Don Juan blasé, trop blasé...Et l'aventure commence... Ce qui ne m'a pas plu : En fait, ce film hésite entre drame et caricature. Les femmes entrevues ont eu des destins affligeants. Elles ont tourné à la mégère, la hippie mal vieillie, la psy magicienne pour animaux...Cela grince beaucoup, et même si cela est voulu, détaché du film... On ne croit plus au visage fermé de Bill Muray qui adopte un faux jeu à la Buster Keaton..Et on pense avec nostalgie au même homme dans " lost in translation..Reste la très belle scène où l'acteur dépose une gerbe de roses sur la tombe d'une de ses ex.

Les images, la musique, Sharon Stone et Jessica Lange... Ce qui ne m'a pas plu : L'assimilation systématique qu'on fait malgré soi avec le merveilleux 'Lost in Translation' de Sofia Coppola. Le personnage de Don que joue Bill Murray est totalement incohérent. On ne comprend pas son inertie, on n'imagine pas son passé de Don Juan, on ne voit pas comment il peut supporter son voisin ni pourquoi il se lance sur les routes. Les nanas sont aussi déjantées les unes que les autres alors que lui, leur séducteur, nous apparait d'un ennui mortel et d'un conformisme à faire peur...

Bonne question !! L'acteur principal et son meilleur ami. Ce qui ne m'a pas plu : J'ai pas aimé. J'ai trouvé ça très lent, très long. Ca manque de rythme, je me suis presque endormie ! Je suis restée perplexe à la fin, car je suis ressortie de cette histoire sans connaitre le dénouement :a t'il réellement un fils ? Est ce le jeune avec lequel discute ? Si oui, qui est sa mère ? Par contre cela permet de nous faire voir différents aspects de la vie américaine profonde. Quand le film s'est terminé, j'ai cru qu'il y avait une panne et j'ai attendu 10 secondes avant de réaliser que ça se terminait comme ça.

La première partie du film, où les acteurs et l'humour un peu décalé du film exercent un certain charme sur les spectateurs. On s'attend à un très bon film, mais la désillusion s'installe peu à peu quand aucun évènement ne ponctue un rythme lancinant... Ce qui ne m'a pas plu : La tentation est grande de rejeter le film en son intégralité... tant la fin du film est décevante et achève le spectateur qui, après avoir subi pendant une heure une attente fort étrange, attend avec moults espoirs qu'arrive une fin grandiose et riche en rebondissements. On ressort de la salle déçu, avec des questions et l'impression que la fin du film a été coupée au montage. L'humour présent dans le film n'arrive pas à compenser les défauts énormes du film, qui avait pourtant un bon potentiel.

Franchement rien, j'avais placé beaucoup d'espoirs dans ce film mais je dois bien l'avouer, j'ai perdu de l'argent lors de son visionnage. Ce qui ne m'a pas plu : De très grandes longueurs entrecoupées de petites scènes de dialogues ; un scénario qui aurait pu être bien mieux mené mais qui reste malheureusment insipide ; des acteurs professionnels mais quand il n'y a rien à jouer ; une musique qui est lassante et assez prise de tête ; cette visite forcée d'une Amérique qui n'a aucun intérêt puisqu'on ne sait pas où cela se passe.

Tout. L'acteur parfait. La mise en scène, l'image, le cadrage. Le rythme du film qui convient très bien à Bill Murray. L'histoire en elle-même car en sortant de la projection vous avez vu une histoire que vous interprétez à votre goût. Tous les acteurs font une très bonne interprétation de leur personnage. "Winston" est plus que naturel et le tout est accompagné par des musiques et des chansons que Jim Jarmush affectionne et qui conviennent parfaitement au film. Je suis sortie de la salle détendue, le sourire aux lèvres. J'ai passé vraiment un très bon moment avec mon mari. C'est un film pour les deux sexes!

La grosse différence entre le Bill Murray à moitié endormi et l'excentricité de ses rencontres, ça produit un gros contraste et de l'humour noir. Ce qui ne m'a pas plu : La répétition, à chaque fois, de ses habitudes quand il rentre dans la voiture louée. C'est très ennuyeux.

Bill Murray, qui fait passer tellement de sentiments avec un minimum de paroles et de gestes. Les rencontres avec les ex, toutes plus surréalistes les unes que les autres. Ce qui ne m'a pas plu : Sur le coup, la fin ne m'a pas plue, mais avec le recul, je la trouve plutôt bien pensée finalement !