Avis - Le Cactus

pour passer le temps

pour le singe et pour les éléphants qui repondent au klaxon, pas plus

c'est nul

clovis cornillac

c'est très sympa, des scènes plus que drôle, Cornillac et Elbé, super!!

pas mal du tout

on passe le temps

une bonne rigolade....

Il est super ce film, keske je me suis explosé à rire, je le conseille vivement à tous ceux ki veulent passer une bonne soirée à rigoler.

assez marrant

Trop rigolo

Film méconnu qui mérite le détour surtout sur certaines scènes

ou comment mourir étouffée avec un cookie...

avec le beau Clovis

avec Clovis

Avec ma cherie

Génial,

Sûrement la meilleure comedie française de l'année, sans prétention. Bonne durée, pas trop long et pas de longueur. Ce qui ne m'a pas plu : Rien.

Pierre RICHARD, plutôt amusant. Ce qui ne m'a pas plu : Ouille ouille ouille, que de platitude ! La seule scène drôle est celle du singe, dont on se sert en bande annonce et cela ne suffit pas pour faire un film.

Sans prétention mais dans l'air du temps. On le rapproche à tort de la chèvre ; pourquoi pas du Guépard ou d'Alexandre le bienheureux..... Munz et Bitton s'essaient avec un certain talent à un genre difficile : concilier les générations et les publics devant le même écran pour les fêtes... L'avénement d'une nouvelle génération à l'écran.

J'ai aimé ce film car il est plein de rebondissements et il nous transporte dans une histoire humoristique que l’on ne voit pas tous les jours. L’histoire, d’abord basée sur un quiproquo, de cet hypocondriaque appelé Sami interprété par Pascal Elbé, sort de l’ordinaire car son meilleur ami Patrick, interprété par l’étoile grimpante du cinéma français Clovis Cornillac, est prêt à faire d’énormes sacrifices pour l’aider a soigner « sa maladie », et ces deux derniers vont donc partir pour l’Inde pour trouver le gourou qui « fait des miracles ». Ils vont tous deux traverser des épreuves incroyable, mais aussi rencontré le fameux Pierre Richard dont on ne se lasserai jamais.

J'ai beaucoup aimé, les personnages dont tres marrants les acteurs jouent bien. Franchement, j'ai passé un bon moment, ça faisait longtemps qu 'un film comique français ne m'avait fait rire autant. Ce qui ne m'a pas plu : Rien.

Rien Ce qui ne m'a pas plu : Lamentable. Cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu un tel amoncellement de médiocrités cinématographiques. Le scénario part dans tous les sens, explore en surface des sentiers laborieux qui, hélas ne mènent nulle part. Les dialogues sont d’une lourdeur éléphantesque, la mise en scène inexistante… d’ailleurs, les comédiens semblent se demander en permanence ce qu’ils doivent faire. La lumière est moche, le propos, qui pourrait être intéressant, s’effrite au bout de la 1ère scène. Quant aux pérégrinations des deux héros masculins, elles sont on-ne-peut-plus longues et nous traînent en Inde, où tous les clichés les plus gras nous sont balancés à la figure (« oh, un éléphant qui traverse la route »). Quant aux gags, c’est le pompon, et c’est bien dommage quand on sait que nous avons à faire à un film comique (hum…) : lourds, pleins de clichés, pompés sur des duo-comédies des années 70, indigestes. Bref on a honte d’être dans la salle. Les bras m’en tombent quand ils ne restent pas croisés.

« La chèvre 2, le retour de ma vengeance », voici comment aurait dû s’appeler ce film. Clovis Cornillac fait son Gérard Depardieu, Pascal Elbé, son Pierre Richard. Calquant la trame du film de Francis Veber, « le cactus » tourne en roue libre. Patrick l’arrogant bourru (ce qu’il dit, il le fait) traîne Sami, le boulet hypocondriaque comme un fardeau depuis l’enfance. A la suite d’un quiproquo, les duettistes vont s’embarquer dans un voyage initiatique en Inde. Si on remplace Patrick par Campana, Sami par Perrin, Inde par Mexique, le mimétisme saute aux yeux. Les réalisateurs assument l’héritage avec la participation clin d’œil de Pierre Richard. Malgré l’impression de déjà-vu qui donne un côté convenu à l’exercice, « le cactus » est divertissant. Les gags sont souvent drôles. Le duo Bitton-Munz sait y faire pour maintenir le rythme de la comédie. La force de ce film, c’est qu’il ne se prend jamais au sérieux : tout passage obligé par le bon sentiment (c’est la loi du genre) est suivi d’un retour tonitruant à la bonne vieille farce. Clovis Cornillac et Pascal Elbé forment un couple attachant, qui a un bel avenir devant lui. A quand « les compères 2 » ?