Avis - Un printemps à Paris

La Rédaction - 2 mars 2006 à 13:40
 sébastien prax - 23 juin 2010 à 13:41
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sébastien prax
23 juin 2010 à 13:41
sébastien prax
23 juin 2010 à 13:36
Christophe Larue
5 oct. 2007 à 11:37
Ai travaillé sur ce film avec plaisir, une belle rencontre avec Jacques Bral, le réalisateur.
Pierre Broussard
3 mars 2006 à 23:08
Les acteurs, Eddy Mitchell et surtout Pierre Santini que l'on voit bien trop peu au cinoche, dans une rôle d'ordure exceptionnelle. Le film se boit comme du p'tit lait. Les dialogues sont savoureux et l'image tres sophistiquée. Merci à Bral pour ce film pas comme les autres... Ce qui ne m'a pas plu : Le jeu un peu formaté et peu crédible de Sagamore Stevenin.
Pascale Ringuet
3 mars 2006 à 08:29
Voilà un film d'un genre que les moins de 20 ans (voire plus...) ne peuvent pas connaître. Voilà un polar pépère qui semble assumer son côté vieillot et désuet et rien n'y manque : les truands fatigués, les trahisons, les amitiés viriles, un cadavre dans un coffre, une voiture qu'on pousse dans un étang (je n'avais plus vu çà depuis 1972 au moins !), des répliques énoncées sans sourire : "cette balle là j'te l'offre... la prochaine j'te l'incustre", une femme fatale (cuir et jupe fendue), le tout sur un air de jazz avec saxo-sexy qui pleurt non stop. Les acteurs se régalent : Eddy Mitchell nous la joue à la Mitchum (flegmatique et désenchanté) mâtiné de Kitano (tic récurrent au visage), Sagamore Stévenin se la joue jeune chien fou à la Delon (oeil de velours, sourire en coin diabolique) et les autres font un numéro de trognes jouissif : Gérard Jugnot, Pierre Santini, Jean-François Balmer (aaah, la voix de Jean-François Balmer). Evidemment c'est macho, c'est misogyne, les femmes jouent les utilités décoratives ou gênantes, mais j'ai fait comme si j'avais rien vu. C'est un régal. Ce qui ne m'a pas plu : Le mec derrière moi qui donnait des coups de pieds dans mon siège... mais j'ai rien osé dire : il avait peut-être un flingue !
Michel Poirier
2 mars 2006 à 13:40
Un script travaillé, des acteurs convaincants, une mise en scène sans esbrouffe. Un film qui respecte ses personnages, ses acteurs et... ses spectateurs.