Votre proposition de loi sur les récidiviste ?

Utilisateur anonyme - 15 déc. 2009 à 01:30
 Utilisateur anonyme - 25 déc. 2009 à 19:10
Patrick Tissier : longtemps il a fait croire autour de lui qu’il était un homme de confiance à qui l’on confiait volontiers ses enfants et que l’on invitait à déjeuner, toujours prêt à rendre service. Jusqu’au jour où, en septembre 1993, son vrai visage est apparu. Celui d’un meurtrier, violeur, récidiviste qui, en l’espace d’un mois, a assassiné sa voisine Conchetta Lemma, assassiné et violé une petite fille de 8 ans, Karine, la fille de ceux qui l’accueillaient gentiment le dimanche à leur table et a tenté de tuer sa meilleure amie Marie-Josée Gauze. Cette dernière revient sur la nuit de cette terrible agression. Elle nous parle de son choc lorsqu’elle a découvert le vrai visage de celui qui disait être son ami, un homme au lourd passé judiciaire. Avec les policiers de la PJ de Perpignan et du SRPJ de Montpellier, nous reviendrons sur l’itinéraire de ce récidiviste et dangereux désaxé sexuel, déjà condamné pour meurtre et viol en 1972. Pour Faites entrer l’accusé, la juge d’instruction chargée de l’affaire, Danielle Braud, disséquera l’enquête. Elle racontera ses face à face troublants avec un Patrick Tissier manipulateur. Des auditions à l’issue desquelles il avouera difficilement l’ensemble de ses crimes. Avec Christophe Hondelatte, Maître Etienne Nicolau, l’avocat des parties civiles, abordera la question du suivi des multirécidivistes. À l’issue de son procès en janvier 1998, devant la cour d’assises de Perpignan, Patrick Tissier a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûreté de 30 ans. C’était son troisième procès d’assises.
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1 réponse

Utilisateur anonyme
25 déc. 2009 à 19:10
Tissier est un criminel en puissance, et lorsqu'il ressortira, il recommencera très certainement. Le bracelet électronique ne sert à rien, et à ces gens-là, il faudrait non castration chimique, mais naturelle, c'est malheureux, mais c'est la vérité. Il ont çà dans leurs gênes, et quoiqu'on en dise, il faudrait agir, et une parenthèse à ceci: Marthe Richard avait fait fermer les maisons closes en 1945, voilà pourquoi, nous en sommes là.
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