Avis - J'invente rien

La Rédaction - 5 oct. 2007 à 11:37
 Chantal CHARTIER - 10 août 2011 à 10:57
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Chantal CHARTIER
10 août 2011 à 10:57
Myriam-France ROCHER
5 mai 2010 à 10:58
Journée de Tournage à Compiègne géniale Claude Brasseur et Kad Mérad sont excellents
laurence germa
12 avril 2010 à 18:38
un petit bijou d'humour décalé, servi par Kad Merad et Elsa Zylberstein, malheureusemenrt éclipsé par les Chtis, sorti à la même époque, bien moins original et drôle, à mon humble avis...
Marion Fresneau
5 oct. 2007 à 11:37
Réalisé par Michel Leclerc Avec Kad Merad, Elsa Zylberstein, Claude Brasseur, ...
erwan le guen
5 oct. 2007 à 11:37
c'etait rigolo
Morgane PASCAL
5 oct. 2007 à 11:37
touchant fin inventive
Stéphanie OUINEZ
5 oct. 2007 à 11:37
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Stéphanie Pavard
5 oct. 2007 à 11:37
avec Kad Merad, Elsa Zylberstein, Claude Brasseur, qui sont à mourir de rire là dedans !
charlyne SADARGUES
5 oct. 2007 à 11:37
sympa
Audrey PÉCHEUR
5 oct. 2007 à 11:37
Très drôle et une fin écrite à l'aide de substances mystérieuses sûrement.
christophe durieux
5 oct. 2007 à 11:37
Avec KAd assez drole
florian jaworski
5 oct. 2007 à 11:37
ma petite amie est figurante dans ce film
yannis dousse
5 oct. 2007 à 11:37
drole et touchant a la fois.
houria amini
5 oct. 2007 à 11:37
kad merad y est extra, et elsa zylberstein aussi!!!!
Roger ARBOGAST
5 oct. 2007 à 11:37
Plutôt bien, dommage que la fin soit si pataude
Nadine Tilburg
26 août 2006 à 00:04
Inévitablement, la ressemblance de Paul avec le personnage principal de «La science des rêves», que j’ai moyennement aimé, invite à la comparaison. Tous les deux sont des hommes-enfants qui n’ont pas grandi et sont étiquetés, "rêveur" pour l’un, "branleur" pour l’autre. Il y a une sacré marge entre un rêveur et un branleur me direz-vous. Pas tant que cela. Si Stéphane vit dans un monde onirique déconnecté de la réalité, Paul quant à lui, vit dans un monde certes « réel » mais personnel et marginal. Il n’est pas un homme ou un mari tel que la société voudrait qu’il soit, ne mène pas une vie standardisée, n’aime rien ni personne, si ce n’est sa femme, étancher sa curiosité, vivre et inventer. Au lieu d’entrer dans un onirisme débridée comme le fait Michel Gondry, Michel Leclerc créé la poésie par petites touches de couleurs, d’ombres et de lumière tel un peintre délicat. L’air de rien, la réalité montrée au spectateur est souvent le reflet de ce que les personnages voient ou ressentent : le père et mari modèle avec ses enfants, le père de Mathilde en plein travail etc. Le propos du réalisateur est étayé par un savoir-faire certain. Tout est soigné et maîtrisé : le grain de l’image, la lumière, le cadrage, les décors, la musique et j’en passe. De plus il sait adroitement éviter clichés et déjà-vu comme en témoignent le début du film où les personnages parlent dans le noir, certaines situations et certaines répliques. D’autre part, il a su tirer le meilleur d’acteurs déjà très bons à la base. Claude Brasseur et Elsa Zylberstein sont excellents et Kad Merad a un rôle à sa juste mesure. Tour à tour drôle, désarmant, attendrissant, énervant il est vrai et émouvant. Je suis restée volontairement très vague car je ne voudrais pas déflorer le film. Je vous laisse donc voyager entre rire et douceur. Ne perdez pas un instant et allez voir ce film.
Bernard Castel
18 août 2006 à 15:12
Une bonne histoire avec de vrais personnages dans un monde ou tout va vite. Kad est parfait dans ce film. Le jeune boucher tient aussi bien son rôle. Et quelle fin ! Une belle leçon d'amoouuuurr.