Avis - The Host

Sublime et subtil

film Ce qui ne m'a pas plu : rien

le film est énormément travaillé.

Tout simplement le meilleur film de monstre de tous les temps après le King Kong de 1933 ! Les émotions défilent au gré des séquences tour à tour drôles, erratiques ou d'action pure... La séquence finale d'affrontement est à COUPER LE SOUFFLE ! Jamais, je dis bien, jamais, on n'avait filmé ça... Et de finir avec les larmes aux yeux pour avoir assisté à un drame humain, un vrai, de ceux qui vous font vous regarder vous-même et vous dire "y'a de moi là-dedans..." Ce qui ne m'a pas plu : Son ignorance totale par les médias lors de sa sortie, et son score ridicule au box-office, malgré un bouche-à-oreille prometteur...

sur canal encore... j'ai trop adoré!!! un pur film avec un humour à l'asiatique!!! tu rigole parfois dans le drame ce film et trop bien !!

.... mouai bof!!

rien a voir avec les film de grosses bestioles américains. Celui la met en avant l'amour de sa famille

Une bete bien charmante.

C'est du bon ça !

la musique chinoise est chiante, ils auraient pu en mettre une mieux.

Quand le monstre du Loch Ness inspire une fable hautement politique. Cocasse, malin, bien ficelé et très pertinent.

pas mal dans son genre, j'aime les film asiatique

décalé mais genial très prenant

Un très bon film fantastique asiatique.

le monstre il déchire

très bon qualité film coréen

Un peu longuet comme film mais les effets spéciaux sont impressionant d'autant qu'il s'agit d'un film Corréen, a voir un soir ou l'on est pas trop fatigué

bof

Super-passionnant !

excellent film dans le genre.

L'humour et le suspense réunis, qui dit mieux ?

Terrible!!!

La corée l'avenir du cinéma de genre

pareil, excellent

film chinois donc un peu etrange mais pas mal!

Excellent film fantastique, drôle et angoissant à la fois

exelent

pas terrible..........

C'est beaucoup d'effet spéciaux, mais ce film est bien à voir.

Film de Monstre coréen, extraordinaire... Mais faut aimé le cinéma asiatique ^^

pas mal

Un énorme monstre marin mutan (c'est pas Godzilla mais ça y ressemble) qui met la panique dans une ville du Japon, ça se regarde vraiment bien, plutôt étonnant

Le monstre mi salamandre mi grosse sangsue est super bien fait.

film japonais de s.f tres bien

Mouais, bêbête sympa qui bouffe tout le monde !

Film de monstre coréen, complétement atypique. Avec anti-héros à la pelle. Une réussite.

FAU AIMER LE CINEMA JAPONAIS...

Comme avec Memories of murder, Joon-ho Bong dépasse complètement les limites du genre, avec un film de monstre qui parle aussi de la famille, de la politique, dans une même scène terriblement drôle et simultanément poignant.

iil est straff comme film mais g rie quand même!

La campagne Anglaise , un complot , l'action!!!!!

bidon mais regardable

Bonne ambiance

C'est un film fantastique coréen tragicomique que j'ai adoré parce que les persos ont la loose complète d'un bout à l'autre.

TROOOOOOOOOPP FOOOOOORT J'adore !!!

et Memories of murder (du même réalisateur)

Heureusement que t'étais là Marion^^

Très bon film, pas du tout ce à quoi je m'attendais.

Ah,ces Japonnais,un petit monstre et ça panique dans tous les sens!!!

L'étrangeté de ce film qui surprend, où l'on ne sait jamais si on doit rire ou pleurer. Film écologique ou film d'épouvante ou film épouvantable... Il faudrait pouvoir trancher. Ce serait à mourir de rire s'il n'y avait quelques victimes bien innocentes. Optons ! pleurons de rire. Ce qui ne m'a pas plu : Incohérences et invraisemblances, la bête est immonde, le anti-héros est stupide, les enfants sont sublimes et les ricains, comme d'habitude sont immondes. Bizarre quoi !

8,5/10. Joon-ho Bong, réalisateur du splendide Memories of Murder qui renouvela le genre du thriller, change de style pour The Host, effectuant un savant mélange des genres entre la comédie satirique et le film de monstre fantastique, pour un résultat identique : une réussite intégrale qui est l'un des rares films asiatiques à pouvoir se targuer d'avoir un tel écho au plan mondial. Le cinéaste engagé à l'extrême gauche de même que son compère Park Chan-Wook, ni va pas avec le dos de la cuillière quand il s'agit de taper sur les Etats-Unis et le gouvernement coréen. Autant dire qu'avec The Host, mieux vaut ne pas s'attendre à un blockbuster hollywoodien débilisant à la Godzilla. Au contraire le réalisateur prend le pari inverse, en parodiant ce genre de manière assez burlesque et ironique, avec quelques passages complètement délirant. Ainsi l'arrivée du monstre attise plus la curiosité des passants, qui lui jette des déchets comme on jeterait des cacahuètes au singe, plus qu'elle ne les effraient. Ensuite alors que l'on croirait revivre le remake de la Guerre des mondes (le père loser qui va sauver sa petite famille), le père, dans la cohue, prend malencontreuseument la main de la mauvaise fille, laissant sa fille dans les pattes du monstre. Et ainsi de suite jusqu'à la fin. Mais The Host, n'est pas une simple parodie, loin de là, tout comme il n'est pas un vrai film fantastique, le monstre (qui par ailleurs souffre de petits défauts d'images de synthèses) n'étant qu'un faire valoir jamais vraiment effrayant mais plutôt au service du l'autre face du film beaucoup plus intéressante. Et ce qui se cache derrière, l'esprit parodico-fantastique du film, c'est une satire, certes un peu grossière à certains moments, mais qui se révèle efficace à la longue, d'autant plus que l'humour noir et les gags typiquement coréens sont souvent là pour la soulager. Cette satire, s'appuie sur des faits réels (versement de produits toxiques en masse dans le Fleuve Han par une section de recherche américaine implantée en Corée), allant même pour la scène d'ouverture jusqu'à retranscrire les véritables dialogues du procès verbal. Les Etats-Unis sont évidemment les premiers dans la ligne de mire, et ceci de manière complètement explicite, ce qui confirme que l'anti-américanisme est vraiment en vogue dans le Monde, puisque tour à tour ce sont les chercheurs, les touristes, les militaires et le gouvernement américain qui sont visés avec plus ou moins de finesse. En ce qui concerne la critique sociale coréenne, elle est moins visible, en filigrane dans certains dialogues, certains personnages (le petit orphelin) ou certaines actions (répression des manifestations, soumission du gouvernement à la domination américaine notament pour les dérives sur l'environnement mais aussi sur le traitement d'urgence de la situation...), notamment à travers cette famille de pieds-nickelés qui malgré le succès de la fille au tir à l'arc, vivent précairement même pour le fils pourtant diplomé. Et ce n'est pas rare que tout ces genres cohabitent, à tel point que, dans une même scène, on a des éléments dramatiques et d'auto-dérision côte à côté. On ne sait pas s'il faut rire ou pleurer... Concernant la mise en scène, hormis le monstre de synthèse inabouti, la réalisation de Joon-ho Bong s'avère totalement impeccable avec des travellings dantesques, des scènes aux ralentis d'une rare beauté et d'une inventivité de tout les moments, d'autant plus bonne qu'elle est sublimée par une excellente photo étincelante. Dans la lignée de Mémories of Murder, le cinéaste sud-coréen laisse à quelques reprises son spectateur sur le cul devant la beauté des images et de la mise en scène qui dépasse les scènes à la grue formatée proposés dans bon nombre de blockbusters. Pour couronner le tout, le casting s'avère excellent, Song Kang-Ho en tête, montrant une fois encore son talent comique, bien épaulé par Bae Doona, Hae-il Park, Byeon Hie-bong, et Ah-sung Ko, les quatres membres de sa famille. Autant dire que l'on attend avec impatience le prochain film de Joon-ho Bong, Le Transeperceneige, adaptation d'une BD française réalisée en collaboration avec son compatriote Park Chan Wook. Une collaboration qui laisse rêveur sachant qu'il s'agit là de deux des tout meilleurs, des plus connus et reconnus (aussi bien en Corée qu'à l'étranger) réalisateurs d'un cinéma coréen prolifique en plein boom. Ce qui ne m'a pas plu : Effets spéciaux à certains moments...

Un mélange de genre courageux, une mise en scène efficace et un monstre mutant superbe et insaisissable. Ce qui ne m'a pas plu : Le mélange de genre vire trop au systématisme. On sent chez Bong Joon Ho une volonté de saborder le moindre de ses effets... Le dernier gag, celui du cocktail molotov, est honteux et de trop.