Avis - Lady Chatterley

Un hymne enchanteur à la nature ...

l'interprétation de Marina Hands et de jean louis Culloch, l'hitoire du désir dans toute sa splendeur, film inoui de beauté, immanquable Ce qui ne m'a pas plu : rien

Une superbe histoire d'amour, des images magnifiques, un film calme et reposant. Touchant et émouvant !

Laissez-vous aller à regarder ce film, à vivre cette histoire. Acceptez, vous ne risquez rien vous êtes au cinéma ... Les autres auront compris tout de suite que l'intimité amoureuse, le partage des sentiments émotionnels avec les êtres ou les choses peuvent être mis sur un écran. Encore faut-il du talent au réalisateur, acteurs et partcipants pour filmer l'émotion plus que l'histoire ... et au spectateur la compétence et la capacité de se laisser aller ! Un moment magnifique pour ceux qui peuvent y acceder. Ce qui ne m'a pas plu : Plus facile à regarder en DVD qu'en salle de cinéma car on peut choisir ses voisins !

Ce n'est pas du tout un film de c... mais plutôt une magnifique histoire d'amour et une ôde à la nature.

De Pascale Ferran - Etonnant Jean-Louis Coulloc'h

troublant de desirs et sentiments passionés...

Très beau film sur la découverte de l'amour , des sens.

sublime !

Vive la nature...

2006 de Pascale Ferran

Un chef d'oeuvre

J'ai beaucoup apprécié de le revoir, c'est un très beau film.

Un chef d'oeuvre. La nature y est magnifique mais pas plus que l'histoire très émouvante, très sentimentale, en plus du reste...

Magnifique !

superbe ce film, je n'ai rien à ajouter

Corps et âmes à l'unisson!

Superbe adaptation du roman de D.H Lawrence. Un petit regret sur le non-traitement de la confrontation famille Constance et Parkin.

Attention aux anachronismes!!!!

Oh my god

Un peu long quand même...mais bon elle a eu un césar alors...

je l'ai revu en vidéo et c'est encore mieux que la première fois

Magnifique histoire d'Amour !

Vrai, fort, magnifique :

vu samedi soir en DVD : c'est le désir qui fait tourner le monde

Meilleur film 2007 césarisé 5 fois:quel film plein de sensualité. A voir et à revoir par les personnes passionnées comme moi

Un très beau film. Des décors magnifiques et puis l'histoire d'amour entre Constance et le garde chasse est pleine de pudeur. Il a l'air bourru mais finalement, on découvre un homme sensible. Ce paradoxe, j'adore.

Je l'avais loupé au ciné.

tres hot

Il était temps !

(Pascale Ferran)

de P.Ferran

C'est un film qui bouleverse les entrailles ! 2h30 de beauté. Ils sont magnifiques. Le visage de Parkin change d'expression à chaque moment. C'est beau, très beau. Merci, tout simplement. Jean Louis Coulloc'h joue actuellement une pièce de théâtre à Paris. Pourquoi pas dans les autres villes ? Strasbourg par exemple ?

Le rythme, la photo, les acteurs : on entre totalement dans ce film et on se met si facilement à la place des acteurs. On vit vraiment le film. Je viens d'acheter le DVD pour revivre cette histoire et faire découvrir ce trésor autour de moi. Magnifiques acteurs tout en retenue et en force à la fois. Il y a bien longtemps que je n'ai pris un tel plaisir à voir un film. Une ode sensuelle à la vie tout simplement. Ce qui ne m'a pas plu : Ceux qui n'ont pas accroché : c'est trop triste pour eux. Un peu de poésie dans la vie ne fait pas de mal !

Un chef d'oeuvre absolu. Un grand bravo au metteur en scène, et aux acteurs. Merci. Rarement une histoire d'amour n' a été filmée au plus près de sa vérité. On serait tenté de dire vérité poétique, mais ce serait presque intellectualiser lefilm, qui porte en lui, tout entier, le germe de l'amour tel qu'on le rêve, tel qu'on doit le vivre ! L'amour, tel qu'il est pensé par tous, un amour filmé avec une telle simplicité, une telle finesse, une telle sensualité, une telle intelligence du coeur, un tel film... mérite plus qu'un oscar, c'est la vie elle-même qui prend forme à travers celui qui la regarde. Merci à la réalisatrice. Un grand cadeau. Ce qui ne m'a pas plu : Les détracteurs du film : à coté de la sensibilité.

C'est un beau film, tant l'esthétique est dans toute scène recherchée : les paysages,les personnages, le jeu des acteurs; mais cette approche renforce la volonté du cinéaste pour qui le propos était, je pense, de montrer l'évolution du comportement des deux personnages qui se découvrent petit à petit ; elle, jeune femme pudique, réservée, liée à un homme enfermé dans sa souffrance physique, dans une demeure froide où les rapports sont codés et immuables elle qui va prendre conscience de son existence, de sa vitalité, de sa fraîcheur, de son corps et de ses désirs, elle qui va éclore comme les fleurs au printemps, elle qui va s'épanouir et qui osera enfreindre les tabous et les lois qui régissent en ce temps-là les femmes, émancipation et volonté de liberté, le déclencheur est ce torse aperçu subrepticement et qui trouble parce qu'il réveille des émois que l'on se refusait de nommer et lui homme des bois apparemment rustre et bourru, heureux dans sa solitude bucolique, lui l'endurci, conscient de sa position sociale, lui pourtant empreint de sensiblité, attentif à la nature, portant des regards tendre sur sa couvée, caressant le bois comme il caresserait une femme, lui aussi se laissera prendre par ce tourbillon d'émotions, ce frémissement qui vient du ventre, il s'abandonnera à l'Amour et même si la fin remet en place l'ordre social, on sait que ces deux êtres garderont la trace indélibile de ces instants. Le rythme lent donné au scénario soustient la montée des émotions, il y a une réelle communion avec la nature qui enveloppe chacune de leur rencontre: quelle troublante scène que celle où ils s'ébrouent sous la pluie, eau génératrice de vie, quelle délicate scène celle où il la pare de fleurs, aucune vulgarité dans ce film, la découverte des sens est faite à pas de loup, laissant au temps, le temps de ressentir et d'être envahi par le pur plaisir sans retenue; rien n'est laid ni vulgaire: c'est un hymne à la vie, force, puissance (lui), fragilité, délicatesse (elle) ingrédients de la vie.

Quelques jolies scènes où l'émotion passe, mais que c'est laborieux et mou. La photo ? oui belle mais heureusement qu'il y a quelque chose. Le monde du cinéma a-t-il vraiment donné 5 césars à un film aussi cruche ? Ce qui ne m'a pas plu : Pourtant il y avait matière à faire du grand cinéma : la photo justement, une superbe histoire, c'est déja pas mal ! Mais les acteurs ! Elle est nunuche à un point ! Lui, pareil. Les dialogues sont vides, sans intérêt, on a envie de dire : taisez-vous ! Tant d'histoire d'amour ont été merveilleusement bien filmées, là quel gachis ! Je n'ai encore pas compris les bonnes critiques (copinage ?).

J'ai beaucoup aimé ce film qui m'a transportée et même émoustillée ! Les acteurs sont émouvants et on assiste à un changement dans leur comportement au fur et à mesure que leur complicité croît. De plus, ils sont beaux et je me suis facilement mise à leur place !

Certaines scènes sauvent le film qui est si mou, si ennuyeux que les bonnes critiques ne cessent de m'étonner ! Ce qui ne m'a pas plu : L'ensemble se veut romantique, décalé par rapport au cinéma actuel... mais cela n'est pas très réussi. J'ai peu apprécié la jeune actrice pour cette même raison !

J'ai aimé d'abord tout le côté esthétique du film : la nature magnifiquement filmée en accord avec les personnages : l'automne et la mort lente de l'héroïne, dans un ennui, une absence de sens à sa vie, d'avenir, de présence, d'amour... L'hiver, où, avec l'endormissement de la nature, elle fuit dans le sommeil, la maladie... et puis, le printemps, l'arrivée des jonquilles, le jaillissement, la vie qui revient en abondance et qui va aussi jaillir en elle, et en cet homme qu'elle va rencontrer qui est lui aussi enfermé dans sa solitude. Avec cette vie bouillonnante, le désir va naître, grandir, envahir... et cela est suggéré, puis décrit, lentement mais avec une grande force... Un désir que nous allons voir évoluer : de la rencontre des corps, au besoin de présence de l'autre, à l'amour, à la passion partagée puis à une véritable libération des êtres : au-delà des complexes, des conformismes, des blocages et de toute une époque puritaine dans laquelle les femmes, après la guerre, cherchaient leur place. J'ai beaucoup aimé le jeu de l'héroïne, à la fois prude au début, enfermée dans son statut social puis se révélant dans ses aspirations au bonheur, à la liberté pour devenir une femme qui prend le risque de tout perdre, le risque de la maternité aussi qui va sans doute la lier... Le personnage masculin est remarquable d'émotion retenue, de pudeur, mais aussi de force et de passion... Hipppolyte Girardot, joue remarquablement un aristocrate enfermé dans son statut de Lord, sa richesse, sa suffisance mais aussi dans sa souffrance d'homme réduit à l'impuissance et qui en vient à accepter, l'inacceptable, pour lui. Ce qui ne m'a pas plu : Peut-être le discours final, où Lady Chaterley veut tout sauver, laisser une porte ouverte, un espoir, auquel elle ne pourra pas répondre, à cause de l'enfant qu'elle porte et qui sera celui de son époux... J'aurais préféré une douleur de séparation mieux assumée...

Excellente surprise pour ce film français sur une énième version du célèbre roman de DH Laurence : L’amant de Lady Chaterley. A la fin de la guerre de 14, une jeune châtelaine dépérit d’ennui auprès de son mari blessé de guerre et paralytique. Sans doute pour avoir le sentiment d’exister encore, par instinct de survie, elle en vient à s’intéresser à un homme, dont elle a entrevu le corps puissant et plein de vie : son garde chasse. Au rythme des saisons, au milieu d’une nature sauvage et porteuse de vie, (magnifiques images) elle découvre le désir, le plaisir puis tout doucement, l’amour. Ce n’est pas un hasard si cet exemple d'épanouissement féminin se situe à une période, post première guerre mondiale, oû les femmes ont commencé à s’émanciper, à travailler pour remplacer le déficit d’hommes, à conduire, à prendre conscience qu’elles pouvaient choisir leur devenir. Constance fait partie de ces jeunes femmes qui, mariées par convention sociale dans le but de procréer, ont souvent fait l’impasse sur une vie amoureuse et sexuelle épanouissante. On assiste à la naissance d’un désir féminin revendiqué, à la libération sexuelle d’une jeune femme découvrant le plaisir sans culpabilité. Beaucoup de tact et de naturel pour les scènes érotiques, et une intelligente réflexion sur les rapports de classes ; entre la châtelaine et le garde chasse comment établir des rapports d’égalité ? Entre un homme sensible et solitaire et une femme revendiquant une liberté sexuelle (masculine pour l’époque) comment concilier la liberté de chacun ? J’ai bien aimé le rythme paisible du film, la narratrice Pascale Ferran, prend son temps pour raconter cette histoire de femme s'éveillant au désir, au plaisir, à l’amour, en bravant ttes les conventions sociales et religieuses de l’époque. Les comédiens sont magnifiques : Marina Hands, spontanée, naturelle, déterminée, lumineuse dans le rôle de Constance la Chatelaine, et dans le rôle du garde chasse Jean-Louis Coulloc'h , bourru, sensuel, émouvant et plein de finesse; il fait un peu penser à Marlon Brando.

L'originalité du langage, les paysages, quelques scènes et la tentative de filmer une histoire d'amour d'une manière originale et décalée. Mais c'est un peu raté. Ce qui ne m'a pas plu : Le manque de fibre et de dynamisme intérieur, absence de la passion (alors que le sujet est sur l'amour), le jeu des acteurs (surtout premier rôle masculin) est un peu fade parfois.