Avis - Un conte de Noël

La Rédaction - 7 mai 2010 à 09:48
 Gwennael BRANTE - 6 déc. 2010 à 23:17
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Gwennael BRANTE
6 déc. 2010 à 23:17
Fanny VITALIS
7 mai 2010 à 09:48
Christine BERTRAND
19 août 2008 à 12:24
Restée sur ma faim....
Déborah Thévenot
19 août 2008 à 12:24
génial !
françoise villard
19 août 2008 à 12:24
bien mais pas marrant!
CELINE PANIEZ
19 août 2008 à 12:24
pas vu la fin..............
VERONIQUE IWANISZYN
19 août 2008 à 12:24
Super
Celine Winckel
19 août 2008 à 12:24
sympa mais spécial, ou spécial mais sympa... en tout cas, pas de langue de bois entre les membres de cette famille!
SYLVIE JEANNIC
19 août 2008 à 12:24
Bof, bof
RUDY GAQUERE
19 août 2008 à 12:24
Catherine Deneuve devient enfin dans ce film une femme banale mais pour autant complexe... Certes l'histoire dérange mais le positionnement des acteurs encore plus
pascale delamer
19 août 2008 à 12:24
Pendant la période de Noêl , toute une famille se retrouve dans le Nord de la France. Catherine Deneuve très émouvant dans le rôle de la mère qui commence un Alzeihmer. Un drame psychologique sur les rapports familiaux, les jalousies, les rancoeurs et les non-dits
karine leclerc
19 août 2008 à 12:24
Pas mal;mais ce n'est pas le genre de film qu'il faut aller voir si on a envie de rire;j'aime beaucoup Catherine Deneuve
sindy vernet
19 août 2008 à 12:24
vu que c'est bientot noêl j'adore
vincent lepais
19 août 2008 à 12:24
Magnifique
FREDERIC JOLY
19 août 2008 à 12:24
TRES BEAU FILM
Philippe C.
19 juin 2008 à 15:34
Rien, si ce n'est le rôle de certain acteurs qui eux ont de la classe. Pour le circuler. Ce qui ne m'a pas plu : Tout : la longueur des scènes, les faits irréels, etc (même pas digne d'un conte). Vers la fin, je croyais qu'il allait ajouter encore un autre problème (à vous de l'inventer) histoire de faire durer son soi-disant "conte". Quand on veut faire une narration dans le style de M.Hallen il faudrait d'abord avoir son talent.
Jean-Jacques Netter
18 juin 2008 à 15:11
Scénario, mise en scène inventive, jeu des acteurs, psychologie des personnages, la ville de Roubaix. Ce qui ne m'a pas plu : Anecdotiquement la presque scène finale de l'opération un peu dure pour certains.
Mercedes Paiman
18 juin 2008 à 09:05
Le jeu des acteurs, parfois outrancier, mais ce sont des personnages outranciers ! Ce qui ne m'a pas plu : L'invraisemblance de l'ensemble. Desplechin est-il mysogine ? Ces femmes sont caricaturées, à part le rôle d'Emmanuelle Bedos. Les hommes sont "palots"... Bref quelle famille ! même la scène du bain des enfants est invraisemblable ! Vous avez déjà vu deux petits garçons assis bien sagement côte à côte dans une baignoire philosophant avec leur grand père ?
Bernadette Bailleul
11 juin 2008 à 11:37
L'ambiance familiale, l'histoire, et la résurgeance du passé (mise en scène par des marionnettes de style javanaises): des effets de style différents : parole directe aux spectateurs ; un film très FORT sur le plan émotionnel ; le jeu des acteurs est époustouflant : on oublie complétement que nous sommes dans un film à la 1ère seconde.
Des peintures de caractères intéressantes, quoique trop souvent excessives. Ce qui ne m'a pas plu : Ce qui ne m'a pas plu : Des situations peu crédibles, un couple bien improbable, des personnages centraux outranciers. Le film en fait vraiment trop pour que l'on puisse y croire, et l'émotion est absente. En outre, ce film est inutilement long.
Beatrice A.
10 juin 2008 à 20:42
Le sujet, la présentation en chapitre. Ce qui ne m'a pas plu : Tout. On ne comprend rien à ce que disent les acteurs, film trop touffu, trop long, qui finit par devenir ennuyeux. On attend la fin comme une délivrance, si l'on est resté jusqu'au bout. Même si l'action se déroule à Roubaix, ce film est du parisianisme philosophique, les personnages se masturbent le cerveau.
Jean-Baptiste A.
10 juin 2008 à 11:23
La magnifique scène de sexe fragmentée entre Simon et Sylvia, une des plus belles vues depuis longtemps. Mathieu Amalric, indéniablement le plus grand acteur français en activité. Ce qui ne m'a pas plu : Le nombrilisme avec lequel s'affiche Desplechin et sa famille d'acteurs, sa manière de régler ses problèmes personnels dont tout le monde se fiche. "Un conte de noël" est une auto-thérapie de la part de son cinéaste, un film d'une prétention absolue, citant Freud pendant 45 minutes, croyant être beau et intelligent parce qu'il cite Kafka et la circoncision. Ce cinéma-là est insupportable et coule la production française. Sa longueur extermine toute tentative d'attention, sa fausse complexité (espèce d'entremêlement brouillon entre personnages dans le temps) énerve plus qu'elle ne passionne, et même dans les relations établies entre personnages, ce drame de l'exil familial et de la maladie, glauque au possible, n'arrive pas à convaincre ; plein d'incohérences surviennent, à tel point qu'on ne sait plus qui aime qui et pour quel raison. Pour tout dire, on s'en fout complètement.
Alain Guiseris
5 juin 2008 à 19:26
Des peintures de caractères intéressantes, quoique trop souvent excessives. Ce qui ne m'a pas plu : Des situations peu crédibles, un couple bien improbable, des personnages centraux outranciers ; le film en fait vraiment trop pour que l'on puisse y croire, et l'émotion est absente. En outre, ce film est inutilement long.
La froideur et la franchise des rapports entre la mère et le fils (je ne t'aime pas, moi non plus).
Claudine Hal
5 juin 2008 à 08:49
Depleschin a écrit là une magistrale partition pour solistes. Voici un film dense, foisonnant, éblouissant; chacun des personnages y a l'épaisseur, la complexité d'un héros de roman russe ou français du XIX ième siècle. Il s'agit, cependant, de cinéma et Amalric est à Depleschin ce que Léaud fut à Truffault, son double et son porte-parole... "La Confusion des Sentiments" nous est ici montrée dans tous ses éclats, comme sous le pinceau bergmanien de la petite lanterne magique de l'enfant mal aimé qu'il avait été. En effet, l'intertextualité est toujours présente et les réfèrences -ou révérences?- abondent contamment, que ce soit par le truchement d'une Junon-Folcoche tout droit sortie du féroce "Noeud de vipères" de Bazin ou par l'écriture de répliques aussi acérée que justes qui fusent en un feu d'artifices qui trouble pourtant le spectateur, trouvant en lui un écho à ses ressentis les plus enfouis. Il y a du Woody Allen dans les monologues de cet "ancien enfant", Henri, que sa mère a privé de toute affection, comme chez sa "soeur fâchée",qui cultive, avec un soin jaloux et sa haine du frère et sa dépression qu'elle triture avec volupté chez son psychanalyste. Bettelheim, lui-même est ici convoqué car le jeune Paul, adolescent négigé par des parents, auteurs dramatiques qui ont d'autres priorité que l'attention à leur fils unique est l'illustration de son fameux: "Nous sommes des victimes de victimes qui engendrons des victimes!" Ce "Conte de Noël" nous amuse aussi car son auteur a su mêler avec génie la légèreté et les cocasseries des situations à la trame tragique du film, la maladie, les rapports inextinguibles de violence, contenue ou non entre les membres de cette famille française, bourgeoise et cultivée; la vie, quoi! Film à voir et revoir pour en capter toutes les subtilités! Ce qui ne m'a pas plu : Surprise par le choix du partenaire de Deneuve, Roussillon, certes excellent en époux et père de famille, généreux et conciliant mais, tout de même, assez peu crédible en compagnon de Deneuve en raison de son apparence et de son grand âge.
Je m'attendais à mieux vue les extraits Ce qui ne m'a pas plu : La voix de Jean Paul Rousillon est détestable. Film totalement décallé Les personnages sont à moitié bizarre et fou Film trop long. Cette haine envers le fils est à peine compréhensible.
Nicolas Laurent
4 juin 2008 à 18:06
En voyant la bande annonce, Deneuve m'a donné envie de la voir dans ce film dont je ne savais pas grand chose et je l'ai trouvé agréable pendant une bonne heure. 1 H 30 en concentré et ce film aurait probablement été très réussi. Ce qui ne m'a pas plu : Comme les autres ont déjà dit, ce film est trop long. Une bonne 1/2 h en moins et il aurait pu être intéressant. C'est la vie d'une famille dont les membres sont assez anti-conformistes. Les comédiens sont plutôt bons. Il y a juste Amalric qui en fait un peu trop dans l'agressivité, (c'est dommage) sinon le jeune Paul et les deux petits sont vraiment charmants.
les acteurs, Deneuve, Chiara Mastroianni, le mari de Deneuve, la fille d'Elisabeth. Ce qui ne m'a pas plu : Trop sombre, trop compliqué, tordu, un vrai film d'auteur quoi.
Vraiment pas aimé ce film très très long. Une vision superficielle des problèmes relationnels au sein des familles, le personnage joué par Catherine Deneuve, froide bourgeoise comme l'est Deneuve, son mari dans le film est excellent lui.
Le jeu des acteurs. Même si Amalric fait"son numéro", je ne trouve pas qu'il surjoue, comme je l'ai lu, car le jeu correspond au personnage déséquilibré, douloureux mais fanfaron et un peu histrionique. Anne Consigny est excellente : son jeu subtil reflète bien la personnalité complexe d'Elisabeth. Je ne suis pas d'accord avec le 1re avis que j'ai lu ici. Ce qui ne m'a pas plu : Le film met mal à l'aise, c'est éprouvant (concentré de haine/amour,conduites perverses,famille dont chaque membre ,à des degrés divers,est un malade mental..) et c'est trop long. Ce n'est pas un grand film, digne de la sélection cannoise. Mais ce n'est pas non plus un mauvais film. Juste un de ces petits films français nombrilistes tels que Desplechin les aime et les fabrique.
Jean-Sébastien Pierre Pierre
28 mai 2008 à 08:41
Evidemment la parade d'excellents acteurs faisant leur numéro chacun leur tour Ce qui ne m'a pas plu : C'est Desplechin se caricaturant lui même. Et que c'est long ! Que c'est long ! Il faut bien le dire, on s'ennuie ferme. Ce n'est pas un film, c'est une séance de cirque. Une ménagerie d'acteurs (tous excellents, mais ça ne fait pas un film !) défile. Chacun fait un petit tour de piste dans son style. Amalric, faussement cynique et déjanté, Devos pulpeuse et décalée, Deneuve évidemment olympienne (Junon !) Roussillon (du français) récite et déclame, évidemment bien mais on s'enfout ! A aucun moment on n'arrive à s'intéresser à cette famille bourgeoise ni à ses problèmes.
Déroutant comme on aime.